L'hôtel Sofitel Alger rénove ses salles de réunions L'hôtel Sofitel Alger a décidé de rénover une partie de ses salles de réunions. En effet, la direction de l'EGT Centre (propriétaire) a lancé un avis d'appel d'offres national et international pour les travaux de rénovation de trois salles : Aurès, Atlas et Hamma. Les entreprises soumissionnaires doivent avoir de sérieuses références professionnelles. Le Sofitel Alger a été inauguré en 1992. Il est le premier contrat de management signé en Algérie avec l'EGT Centre. Cette réhabilitation permettra au Sofitel de se positionner comme le leader de l'hôtellerie de luxe à Alger, d'offrir aux clients de nouveaux services et ainsi de conquérir un nouveau segment de clientèle d'affaires. Dans la galaxie Accor, la marque Sofitel occupe une place à part. Elle sort de l'organisation générale pour développer sa propre identité visuelle, son positionnement et ses campagnes de publicité. Jets de pierres sur les trains de la SNTF Le jet de pierre, cet acte incivil et dangereux, occasionne de nombreuses pertes matérielles à la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF). C'est d'ailleurs un phénomène en continuelle recrudescence, marquant le triste quotidien des cheminots. Même les autorails n'y échappent pas. Mourad Benameur, PDG de la SNTF, a signalé 157 cas avec 51 blessés en 2008 dont le personnel de conduite de sa locomotives. Ce sont généralement des bandes de jeunes désœuvrés qui se positionnent tout au long de la voie ferrée qui sont à l'origine de ces actes. La marge de manœuvre pour réduire ce phénomène semble être réduite pour la SNTF, qui multiplie les campagnes de communication et alerte souvent les autorités. Les trains sont équipés de vitres spéciales pour amortir les chocs. Une précaution qui, malheureusement, fait augmenter les dépenses au moment où l'opérateur tente de redresser la société. Le British Council forme 164 enseignants L'organisme britannique pour l'éducation et les relations culturelles, British Council, a organisé trois ateliers de formation de cinq jours chacun. Cette formation est destinée aux enseignants d'anglais du cycle moyen à Sidi Bel Abbès et ce, du 12 au 29 juillet courant. Ces ateliers, auxquels ont participé 164 enseignants venant de 16 wilayas, s'inscrivent dans le cadre d'une série de formations organisées en collaboration avec le ministère de l'Education nationale en Algérie visant à former 1000 enseignants d'anglais d'ici à 2010. Les travaux de ces ateliers sont dirigés par des experts du British Council et s'articulent principalement sur la langue dans la classe, la gestion des classes où le nombre d'élèves est élevé et les niveaux différents, le développement des aptitudes de communication, la correction des erreurs et l'évaluation. Après ce stage, les enseignants auront la chance de passer le test des connaissances en matière d'enseignement (TKT) de Cambridge Esol. Ce test est reconnu au niveau international et a pour but d'augmenter la confiance des enseignants. Des enfants sahraouis en vacances en Belgique Une dizaine d'enfants des camps de réfugiés du Sahara- Occidental se trouvent actuellement en Belgique dans le cadre des « vacances de la paix », à l'invitation du Comité belge de soutien au peuple sahraoui. Arrivés le 11 juillet dernier à Bruxelles, ces petits ambassadeurs et ambassadrices de la paix, âgés de 8 à 12 ans et accompagnés de deux adultes, ont déjà visité plusieurs villes dans le nord et le sud du pays. Interrompue depuis une dizaine d'années, la reprise de cette initiative a été annoncée en mars dernier par le Comité belge de soutien au peuple sahraoui, dans le but à la fois d'offrir des vacances à ces enfants, de leur assurer les examens médicaux complémentaires ultérieurement utiles à leurs médecins traitants, mais aussi de sensibiliser à leur cause la société civile et la sphère politique belge, selon le Comité belge de soutien. Les responsables du Comité de soutien, dont le président Pierre Gallant, qui est également président de l'Eucoco (Conférence de la coordination européenne pour la solidarité avec le peuple du Sahara- Occidental), espèrent par cette initiative élargir le cercle de soutien à la cause sahraouie. Sur ordre du... diable Hier, à San Antonio (Texas), une mère de famille de 33 ans a décapité son bébé âgé de trois semaines et demie. Pour expliquer son terrible geste, elle a précisé aux policiers venus l'interpeller, que le diable lui avait ordonné de le faire. Au moment de son arrestation, cette mère de famille se trouvait sur un canapé et hurlait qu'elle venait de tuer son bébé. Elle s'était également poignardée. Au domicile de la meurtrière, les policiers ont trouvé deux enfants indemnes. Joe Rios, le porte-parole de la police, a indiqué que les enquêteurs avaient trouvé au domicile un couteau de cuisine, une épée et une machette. « Quelqu'un ou quelque chose lui a ordonné de la faire, elle entendait des voix », a précisé Joe Rios. Tout en ajoutant : « Cela nous conduit à penser qu'elle souffrait de troubles mentaux. » La jeune mère de famille a été transportée à l'hôpital universitaire de San Antonio. Le « canular » en prison Un adolescent britannique qui avait appelé la Maison-Blanche pour déclencher une fausse alerte à la bombe à New York, a été condamné lundi à six mois de prison avec sursis. Ivre, Thomas Hutchinson, 19 ans, avait appelé en 2008 le standard de la Maison-Blanche et lancé à l'opérateur : « Il y a une p... de bombe au Madison Square Garden » à New York. Le standardiste avait réussi à retracer l'origine de l'appel, passé depuis la Grande-Bretagne. Le FBI, les services secrets américains, la police de New York et les responsables britanniques du contre-terrorisme avaient été impliqués dans l'enquête qui avait suivi. Hutchinson, qui avait 17 ans à l'époque des faits, a également été condamné à 250 heures de travaux d'intérêt public. Il avait plaidé coupable lors d'une audience antérieure, après avoir initialement nié toute implication. Un fast-food à Pyongyang La Corée du Nord, engagée dans un bras de fer avec les Etats-Unis régulièrement cloués au pilori par la propagande communiste, a ouvert son premier fast-food. L'établissement baptisé Samtaseong a ouvert, en juin dernier, dans la capitale Pyongyang en coopération avec une société singapourienne. Le restaurant sert des hamburgers sans toutefois les qualifier comme tels. Les sandwiches y sont appelés « bœuf haché et pain », « poisson haché » ou encore « légumes et pain ». Exit les frites, le menu est accompagné de kimchi, le plat national coréen composé de légumes marinés. Les « hamburgers » version nord-coréenne sont vendus 1,2 euro, soit plus de la moitié du salaire quotidien.
