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Pour un nouveau partenariat avec le mouvement associatif

Non obstant les discours partisans ou pas, alarmistes ou rassurants des uns et des autres sur les causes et la portée de ces événements, tout le monde reconnaît cependant le fait que deux acteurs s'affrontaient dans les rues de la capitale et de nombreuses autres villes d'Algérie : les jeunes et les forces de l'ordre. Cela doit nous interpeller. Selon le discours officiel, la situation semble être «rentrée dans l'ordre», mais à écouter les jeunes, il est certain que le mal n'est pas guéri et que la paix sociale n'est pas assise. A les écouter s'exprimer, les ingrédients sont encore présents pour une nouvelle explosion qui pourrait, à ce moment-là, être plus dramatique. Les événements qui viennent de se dérouler en Tunisie, en Egypte, au Bahrein, en Libye et auxquels nous avons assistés en direct serviront très certainement d'exemple à bien d'autres pays.
Le décès de Mohamed Bouazizi à Sidi Bouzid a déjà fait des émules à Aïn Bénian (Alger), Boumerdès, Jijel, Mostaganem, ainsi qu'à Tébessa où le jeune Boutarfia Mohsen, âgé de 27 ans, s'est immolé à la manière de Bouazizi(1). Un jeune en a fait de même devant le siège du Parlement en Egypte, un autre devant le siège de la présidence en Mauritanie et la liste se rallongerait certainement dans les jours, les semaines et les mois qui suivent. Quelle que soit l'opinion que l'on se fait sur ce phénomène, comme sur celui de l'émigration clandestine, cela nous interpelle avec force. Les jeunes Algériens sont encore en colère et constituent, de fait, une proie facile à la merci d'un quelconque détonateur potentiel et d'une quelconque manipulation politicienne. Très peu d'initiatives sont prises face à cela et ne sont pas à la mesure de ce qui s'est passé et encore moins de ce qui risque de se passer. La dernière décision d'attribuer une allocation chômage aux jeunes diplômés est à saluer malgré qu'elle soit très symbolique et qu'elle ne concerne qu'une catégorie de jeunes.
Cette action positive pourrait, cependant, être vécue par les autres catégories comme une inégalité de plus. Qu'en sera-t-il de ce recensement de postes vacants décidé récemment ? Les débats à la radio et la télévision, ainsi que la parole donnée aux jeunes par la presse peuvent sembler atténuer quelque peu la tension, mais ils constituent à mon sens l'arbre qui cache la forêt parce que non durable ; la presse passera rapidement à autre chose, tant les événements se précipitent. Quoi qu'on dise, et malgré la diversité des problèmes évoqués par les jeunes à travers les slogans clamés lors des manifestations, les graffitis ornant les murs, les opinions exprimées sur la presse(2) ou à l'occasion de rares émissions télévisées comme «Questions d'actu», les jeunes disent que toute cette flambée de violence aurait pu être évitée si le gouvernement et les dirigeants politiques prenaient la peine de les écouter. S'il y avait un enseignement à tirer de tout cela, il me semble que le secteur de la jeunesse est fortement interpellé, même si la responsabilité quant à la situation des jeunes et leur malvie n'est pas de son seul ressort.
De mon avis, ce secteur peut constituer, dans l'intersectorialité, la locomotive habilitée et la plus indiquée pour canaliser l'énergie des jeunes qui s'expriment, pour le moment, par la violence, et leur faire emprunter des voies plus pacifiques d'expression de leurs revendications. En a-t-il les moyens ? La réponse est oui, à la seule condition qu'il ait la volonté d'affirmer une rupture et de se redéployer dans une perspective d'écoute et d'appui au principe de la «participation» des jeunes à la conception et à la gestion de leurs affaires en tant que facteur stimulant de leur adhésion à l'action des pouvoirs publics. Ce concept de participation ne doit pas rester une idée, mais devrait être traduit en actions sur le terrain. Cette façon de donner de la considération aux jeunes — elle est revendiquée par les jeunes eux-mêmes qui évoquent le sentiment d'abandon, de «hogra», d'absence de perspective et d'exclusion(3) — n'est pas une innovation dans la mesure où cette vision est largement reconnue par la communauté internationale qui y a consacré de nombreuses réflexions à l'occasion des différentes assemblées générales des Nations unies, à travers l'adoption de diverses résolutions consacrées à «la participation des jeunes aux prises de décisions» dont l'action la plus importante était l'adoption du Programme d'action mondial pour la jeunesse à l'horizon 2000 et au-delà.
Les ministres responsables de la jeunesse, réunis à Lisbonne au mois d'août 1998, dans une conférence mondiale à laquelle l'Algérie avait pris part, relevaient à leur tour que les jeunes «sont aux prises avec des difficultés et des préoccupations réelles, et souvent aussi ils ont des suggestions ou des solutions novatrices à proposer quant aux moyens de résoudre ces problèmes. De plus, ils peuvent contribuer de manière efficace à promouvoir la paix et la tolérance». Les jeunes Algériens n'ont rien de moins que les autres jeunes dans le monde, ouvrons-leur les espaces nécessaires pour s'exprimer et donnons-leur la chance de démontrer leurs capacités. Voilà la manière qu'il faut pour remobiliser les jeunes, canaliser leur formidable énergie et maintenir par-là même la stabilité sociale indispensable au développement et à l'essor du pays.
Autrement dit, cette approche privilégie les mécanismes de communication et de concertation crédibles que permet le mouvement associatif. Cette observation est, par ailleurs, notée par les participants à la conférence walis-gouvernement consacrée à la jeunesse qui observent que «bien que se sentant incompris, les jeunes ont une réelle volonté de participer à la vie de la société, même si cela s'exprime parfois dans l'informel et en marge des voies réglementaires»(4). Zoubir Arous(5) note que «ce qu'il faut, c'est d'abord comprendre la nature de ces émeutes… les jeunes… sont rejetés de partout. Les émeutes sont l'expression de besoins vitaux. Le pouvoir a perdu la capacité de comprendre les jeunes. En l'absence d'outils de médiation et de société civile, il ne reste plus qu'un recours : la rue. Il y a une véritable quête de liberté…». Cela dit, le secteur de la jeunesse devrait à mon sens agir sur plusieurs axes principaux pour répondre aux aspirations des jeunes, se réapproprier leur confiance et participer à la mobilisation de la jeunesse. Il s'agit d'œuvrer à l'institution d'un espace de concertation et de consultation de la jeunesse.
Paradoxalement, un Conseil supérieur de la jeunesse avait été institué par l'Etat en 1995, alors que les priorités du pays étaient centrées sur le rétablissement de l'ordre et le dépassement de la période difficile que traversait le pays. Sa mise en place dénotera d'un nouveau discours en direction des jeunes et de leurs représentants qui va réaffirmer la résolution de l'Etat à inscrire «la jeunesse comme l'une de ses préoccupations essentielles dans tous les domaines», comme le déclare souvent, et à juste titre, le président de la République dans ses différents discours. Il montrera également qu'il a écouté les recommandations des participants à la conférence
walis-gouvernement d'octobre 2007 qui soulignaient la légitimité que la jeunesse, cette force de renouveau, prenne la parole et s'engage résolument dans la vie civique.
Le besoin ressenti par les participants à cette rencontre, quant à l'écoute des propositions des jeunes et de leurs espoirs, constitue pour eux, très certainement, des facteurs de garantie pour la réunion des conditions de paix et de stabilité durables pour le pays. Ils rejoignent, ainsi, les experts jeunesse des Nations unies qui considèrent «qu'il est important de donner plus d'autonomie aux jeunes en leur donnant la possibilité d'obtenir une plus grande indépendance et de surmonter les obstacles qui s'opposent à leur participation, et en leur offrant l'occasion de prendre des décisions qui affectent leur vie et leur bien-être»(6). Ces experts recommandent notamment «un appui — financier et politique — renforcé pour la création et le développement durable de conseils nationaux de la jeunesse…»(7). Auprès d'un tel conseil de la jeunesse, ce secteur gagnerait à multiplier, à travers ses nombreux établissements qui pour l'instant ne mobilisent pas grand monde, la mise en place d'espaces d'écoute et de dialogue qui auront le mérite de donner la parole aux jeunes, participant ainsi à l'apprentissage de l'expression de revendications par des voies pacifiques et civilisées.
De plus, ils peuvent être considérés comme autant de groupes de paroles qui diminuent la pression et l'énergie naturelle existantes chez les jeunes et qui se manifestent par différentes formes de violence à l'encontre de la société (émeute, casse…) et à leur propre encontre (harga, suicide, immolation…). En outre, il gagnerait également à secouer sérieusement le réseau des auberges de jeunesse —, le réseau qui compte le plus de structures dans le monde arabe(8)— en matière d'hygiène et d'encadrement pour faire découvrir aux jeunes Algériens leur pays et leurs populations et leur permettre de tisser des liens d'amitié, ce qui participerait très certainement à changer l'image négative qu'ils ont de leur propre pays et à l'aimer. Par ailleurs, ce secteur peut trouver dans le mouvement associatif les moyens nécessaires pour transformer positivement cette énergie en en faisant un trait d'union entre l'autorité publique et les jeunes. Il se trouvera cependant beaucoup de personnes qui évoqueront la faiblesse actuelle des associations, mais cela ne pourra résister au fait que les associations de jeunes peuvent, pour peu que l'aide nécessaire leur soit apportée, constituer le canal qui va introduire en milieu de jeunes la culture du dialogue et de l'expression, du compter sur soi, de la solidarité, du partage, la confiance et la sérénité nécessaires pour le développement du pays.
Ne constituent-ils pas leurs propres agents du changement ? «Mieux que quiconque, ils connaissent leur propre environnement, savent analyser leur situation et trouver des solutions à leurs problèmes», déclarent les experts jeunesse des Nations unies. Cette faiblesse, qui existe bel et bien(9), n'est cependant pas une fatalité. Elle peut être corrigée par une action d'accompagnement et de mise à niveau à travers un programme sérieux de formation des cadres bénévoles. En effet, un encadrement de qualité participera sans aucun doute à susciter l'adhésion des jeunes qui veulent des représentants crédibles, comme le soulignent les participants à la conférence sur la jeunesse : «… En matière de vie associative, ils (les jeunes) espèrent des organisations représentatives, utiles et crédibles…»(10) C'est aussi à travers la formation que les valeurs citoyennes pourront être incrustées chez ces cadres, qui les répercuteront sur les jeunes et forgeront leurs opinions.
Ainsi, les pouvoirs publics auront pour mission d'encourager et de soutenir l'élargissement du mouvement associatif au plus grand nombre – objectif consacré par la Constitution et rappelé dernièrement par le président de la République à l'occasion de la tenue de la Conférence walis-gouvernement consacrée à la jeunesse — de renforcer et accroître sa capacité à s'intégrer davantage à la politique des pouvoirs publics en matière de prise en charge des préoccupations de la jeunesse. Cet objectif pourrait se traduire en actions concrètes, codifiées et mesurées dans les engagements de partenariat avec les associations de jeunesse. Des bonifications et des aides de l'Etat devront être accordées aux associations qui mobilisent le plus de jeunes et celles qui encouragent la participation féminine.
Une aide particulière devrait être portée aux associations qui organisent des chantiers de jeunes volontaires et bénévoles qui agissent dans des créneaux de solidarité sociale, de protection de l'environnement, de l'amélioration du cadre de vie ou d'équipements collectifs et de toutes autres actions d'utilité publique et d'intérêt général. A très court terme, le secteur de la jeunesse peut redynamiser l'action du mouvement associatif de jeunesse et le pousser à être actif en lui faisant assumer, l'organisation et l'animation des activités des établissements de jeunesse, maisons de jeunes, centres culturels, salles polyvalentes, complexes de proximité… Cette action est salvatrice non seulement pour les associations, mais également pour le secteur de la jeunesse et des sports qui comblera le déficit existant en matière d'encadrement des établissements de jeunes et, en particulier, ceux qui ne disposent pas du tout de cadres ou qui fonctionnent avec des ouvriers professionnels et ceux de l'emploi de jeunes.
Les établissements, conformément à la réglementation en vigueur(11), sont mis à la disposition des associations choisies sur des critères de capacité et compétence, par le biais d'une convention précisant les obligations des deux parties. Le rôle de l'administration de la jeunesse et des sports sera assumé dans le domaine du contrôle à travers la nomination d'un directeur d'établissement, garant de l'application de la politique de jeunesse par le mouvement associatif. A titre d'exemple, cette action pourrait commencer par une convention de mise à disposition d'établissements de jeunesse avec l'association des Scouts musulmans algériens, l'une des associations les plus structurées sur le territoire national, sur la base d'un cahier des charges précisant les obligations de cette association autour du développement de valeurs éducatives, civiques et morales, de l'éducation à la citoyenneté et le dévouement à la chose publique en milieu de l'enfance et de la jeunesse.
Dans le domaine du financement, il me semble qu'il est nécessaire d'établir plus d'équité et de transparence, choses qui redonneront sans aucun doute confiance au vaste mouvement associatif qui compte plus de 80 000 associations, dont la plupart ont l'impression que seules celles qui sont «pistonnées» en bénéficient. Par le biais de son site web, le secteur doit rendre publics non seulement ses appels à projets, les échéances de dépôt des candidatures, mais aussi les projets financés pour que l'ensemble des personnes intéressées (associations et particuliers) en prennent connaissance et en particulier les membres desdites associations bénéficiaires.
En outre, une meilleure coordination entre les secteurs qui financent les associations est nécessaire non seulement pour donner à un plus grand nombre d'associations le bénéfice de l'aide des pouvoirs publics dans la transparence la plus totale et l'équité, mais aussi de rendre publique l'aide financière qu'apporte l'Etat à la société civile. Je terminerais cette modeste contribution en rappelant un extrait du discours du président de la République prononcé à l'occasion de la clôture des travaux de la Conférence sur la jeunesse, qui sied à cette situation : «Ce n'est qu'à cette condition que nous pourrons lui rappeler, le cas échéant, que si elle a des droits, elle doit s'attacher tout autant à accomplir ses devoirs. Ce n'est qu'à cette condition que nous pourrons la mettre en mouvement afin qu'elle donne la pleine mesure de ses capacités et de ses talents. Ce n'est également qu'à cette condition que nous pourrons la mettre à l'abri des sollicitations nuisibles et des manipulations qui prolifèrent dans le terreau du désespoir induit par le chômage, la marginalisation et l'exclusion».(12)
Notes de renvoi :
1- In El Khabar du dimanche 16 janvier 2011, page 7
2- In El Watan du vendredi 14 janvier 2011.
3- Voir «Redonner confiance aux jeunes», interview de monsieur Musette Saïb, chercheur au CREAD, in El Watan du 11 janvier 2011 .
4- In Rapport de l'atelier n°1- «Les attentes de la jeunesse et la stratégie de prise en charge» – Résolutions finales de la Conférence gouvernement-walis – Palais des Nations, Club des Pins, 21,22 et 23 octobre 2007.
5- Voir «Il faut renouveler le discours politique», déclaration de Zoubir Arous, sociologue, chercheur associé au CREAD, in El Watan du 11 janvier 2011
6- In «Politiques et programmes mobilisant les jeunes» – Résolution adoptée par l'Assemblée générale, 88e séance plénière, 19 décembre 2001.
7- In Rapport du Secrétaire général des Nations unies lors de la 60e session de l'Assemblée générale des Nations unies consacrée au «Développement social, y compris les questions relatives à la situation sociale dans le monde et aux jeunes, aux personnes âgées, aux handicapés et à la famille», juillet 2005.
8- Communication présentée par le président de l'Union arabe des auberges de jeunesse à l'occasion des travaux du Conseil des ministres arabes de la Jeunesse et des Sports qui se sont déroulés à la Ligue des Etats arabes, le Caire, 2002.
9- Voir l'enquête sur la situation des associations qui a été réalisée par le Ceneap au compte du ministère des Finances en 2003/2004.
10- Extrait du rapport de l'atelier n° 1 — Les attentes de la jeunesse et la stratégie de prise en charge — Chapitre «Quelles sont les attentes des jeunes ? »
11- Décret exécutif n°07-01 du 6 janvier 2007 portant transformation des CIAJ en ODEJ – Art 27 – 1er alinéa :
«Les établissements de jeunes, prévus à l'article 20 ci-dessus, peuvent faire l'objet d'une exploitation au profit d'associations légalement constituées et ce, selon des modalités et formes fixées conjointement par le ministre de la Jeunesse et des Sports et le ministre des Finances.»
2e alinéa : «La gestion des activités ou de certaines activités pédagogiques se déroulant au sein d'un établissement de jeunes peut être confiée par voie conventionnelle à une ou plusieurs associations d'activités de jeunes selon des conditions et modalités fixées par arrêté du ministre de la Jeunesse et des Sports .»
12- Extrait du discours du Président de la République- In El Moudjahid du mardi 23 novembre 2007.


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