La rentrée 2009/2010 ne s'annonce pas de tout repos en dépit des moyens colossaux déployés par l'Etat pour une meilleure prise en charge sociale des résidents des cités universitaires. Belle initiative que celle prise par le nouveau directeur des Œuvres universitaires, monsieur M. Aribi. Ce responsable vient en effet de se réunir avec la coordination syndicale qui englobe les sections syndicales des « Cités-U » pour passer au crible les problèmes rencontrés au cours de la rentrée 2009/2010. Une rentrée qui ne s'annonce pas, hélas, de tout repos en dépit des moyens colossaux déployés par l'Etat pour une meilleure prise en charge sociale des résidents. Au-delà des considérations organisationnelles évoquées et les solutions apportées, notamment celles liées à la régularisation de la situation administrative de beaucoup de jeunes employés, l'on retient cette recommandation faite par les cadres syndicaux à l'ONOU pour « ouvrir une enquête sur la gestion opaque qui a caractérisé certaines Cités-U ». Cela intervient à un moment où la justice, saisie d'une affaire liée à la conclusion d'un marché concernant le transport à l'ex-centre universitaire de Tissemilt, a convoqué toutes les personnes concernées par le dossier, le limogeage de monsieur Alali Mokhtar et la fermeture des cités d'Aïn-Bouchekif ainsi que celle de Ksar-Chellala. La situation des travailleurs de ces entités fermées semble même préoccuper la coordination syndicale, comme il est noté dans le communiqué.