Au terme des délibérations, la chambre d'accusation près la cour d'Oran a rejeté, hier, la requête d'un avocat de la défense relative à la liberté provisoire au bénéfice de son mandant. Ce dernier, fils d'un haut cadre de l'Etat, a été placé en détention provisoire deux mois auparavant pour port d'arme à feu prohibée. Le mis en cause a été interpellé à Oran par les enquêteurs de la police en possession du révolver de son père. Il n'aurait pas été en mesure de d'expliquer les motivations l'ayant poussé à circuler avec cette arme à feu.