Hamid Grine reçoit le prix Aslia 2009 Le journaliste et romancier, Hamid Grine, journaliste et auteur du best-seller, Lakhdar Belloumi, un footballeur algérien, Cueille le jour avant la nuit, Chronique d'une élection pas comme les autres, La Nuit du henné ou encore La Dernière prière, s'est vu décerner le Prix des Libraires algériens, Aslia 2009, pour son nouveau roman, Il ne fera pas long feu, paru aux éditions Alpha, mercredi, à la salle El Djazaïr de la Safex, aux Pins maritimes à Alger. Ainsi, après des écrivains comme Yasmina Khadra, Waciny Laâredj, Maïssa Bey, Djamel Amrani, Rachid Boudjedra ou encore Amara Lakous, c'est au tour de Hamid Grine d'être le récipiendaire du très prisé prix des libraires. Le choix des libraires algériens a été motivé par la qualité et la fluidité du texte de Il ne fera pas long feu et du succès de sa vente en librairie. Cette distinction a été remise par le secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre chargé de la Communication. Benbouzid feinte les journalistes Afin d'éviter les embarrassantes questions des journalistes qui voulaient aborder différents points inhérents à la grève des enseignants de l'éducation nationale, Boubekeur Benbouzid, le premier responsable du secteur, a préféré faire l'impasse sur la conférence de presse animée mercredi soir à Sétif, par cinq ministres chargés par le président de la République de l'inspection des différents projets de leurs secteurs respectifs. Le forfait de Benbouzid a, le moins qu'on puisse dire, laissé les gens de la presse sur leur faim. Un policier tue son beau-frère Un drame a eu lieu, hier matin, au niveau du quartier de Saf-Saf dans la commune de Aïn Naâdja, lorsqu'un policier de 30 ans a fait usage de son arme pour tuer une personne. La victime serait le beau-frère du policier qui exerce au niveau de la caserne de police de Bachedjerrah. Une information judiciaire a été ouverte pour connaître les circonstances du crime. Les photographes mis à l'écart à Sétif Contrairement aux précédentes sorties présidentielles, le champ d'action des photographes chargés de la couverture du déplacement du Président à Sétif, s'est beaucoup rétréci. Ces derniers n'ont pas été autorisés à approcher le chef de l'Etat. Ils étaient, en outre, obligés de zoomer à partir du camion aménagé pour la circonstance. Au niveau de l'auditorium Naït-Belkacem de l'université de Sétif, où s'est déroulée la cérémonie officielle d'ouverture de l'année universitaire, les photographes avaient uniquement 40 secondes pour prendre des photos et sans flash. Où sont passées les primes de l'athlète et de son entraîneur ? On sait que les athlètes comme leur encadrement, après chaque succès dans les compétitions internationales, ont droit à des primes, tel que le prévoit la réglementation. A la Fédération de cyclisme on ne l'entend pas de cette oreille, puisque depuis le premier trimestre de l'année dernière, une athlète et son entraîneur réclament leur dû. Le MJS a bien établi deux décisions, n°78 et 94 du 12 mai 2009 de l'ordre de 288 000 DA et 130 000 DA. Une correspondance de la tutelle intime au président de la fédération de « régulariser dans l'immédiat les personnes concernées ». « Et nous nous étonnons du retard enregistré pour un règlement d'un droit consacré par les textes. » Cet avertissement a été adressé au président de la Fédération le 27 septembre dernier. Plus d'un mois et demi se sont écoulés et les choses n'ont pas changé. C'est dire qu'il y a deux hypothèses : ou le président prend les instructions du MJS pour de la barbe à papa, ou bien l'argent a « glissé » quelque part.