Un appel poignant est lancé par les parents pour sauver leur fils d'une mort certaine. Agé d'à peine de deux ans, Younès Meziani risque de mourir s'il n'est pas rapidement pris en charge à l'étranger. Gisant sur son lit au service de chirurgie infantile de l'hôpital Mustapha Bacha, à Alger, il dépérit chaque jour que Dieu fait, et ne cesse de perdre du poids. Son histoire est dramatique. Younès jouait avec ses cousins, lorsqu'il a fait une petite chute en cette journée de l'Aïd, au mois de septembre dernier. Voyant que son état ne faisait que se détériorer, ses parents l'emmenèrent à l'hôpital Birtraria, à Alger, où il perd connaissance. Le premier diagnostic fait état d'occlusion intestinale qui aurait pu être prise en charge à temps. Mais Younès est de nouveau transféré vers l'hôpital Mustapha, où les chirurgiens tentent l'impossible pour le sauver. Ils lui coupent l'intestin grêle, sévèrement atteint. Le petit ne se réveillera que quelques jours plus tard. Il réapprend à parler et à reconnaître ses parents, mais ses jours sont comptés parce qu'il n'arrive pas à digérer ce qu'il mange. Tous les aliments ingurgités sont rejetés par la sonde installée sur son flanc droit. Il lui faut impérativement une prise en charge spécialisée par des diététiciens et des équipements pour lui permettre d'alimenter son corps en attendant le développement des quelques centimètres de l'intestin grêle qui lui restent. A défaut, Younès mourra. Désespérés, ses parents lancent un appel poignant pour le sauver d'une mort certaine. « Nous voulons le soigner et lui permettre de vivre comme tous les enfants. Les infections lui rongent les parties anale et génitale et il ne cesse de souffrir. Nous refusons de voir notre bébé mourir à petit feu. C'est une mauvaise prise en charge à l'hôpital qui lui a causé ces dégâts. Que les âmes charitables l'aident à reprendre vie... », déclare son père, d'une voix entrecoupée de sanglots. Exhibant des photos choquantes de son enfant, M. Meziani espère qu'une prise en charge rapide soit accordée à son fils avant qu'il ne soit trop tard. Y aura-t-il une oreille attentive à leur appel poignant ? Toutes les personnes qui peuvent l'aider, peuvent contacter M.Meziani à ce numéro : 00 213 21 90 82 47