Les maladies infectieuses en débat La grippe porcine et le Sida, deux maladies infectieuses qui préoccupent en ce moment les spécialistes, ont été au centre d'une journée médicale organisée, jeudi dernier au CCI, par l'Association du corps médical privé (ACMPC) de la wilaya de Chlef. Y ont pris part, outre les membres de ladite association, les praticiens publics et privés des wilayas de Chlef et d'Aïn Defla ainsi que des pharmaciens, des vétérinaires et des étudiants en médecine. Les travaux ont été animés par le spécialiste en maladies infectieuses, le Dr. Moula de l'EPH Ténès. Celui-ci a notamment insisté sur l'importance de la prévention, du diagnostic précoce et des moyens thérapeutiques à mettre en œuvre pour assurer une meilleure prise en charge des malades. Engouement pour les activités de service 1 440 nouvelles inscriptions ont été enregistrées au registre du commerce en 2009 pour le secteur des services seulement. Elles concernent notamment les activités de transport, de l'hôtellerie et de la restauration, qui demeurent les activités les plus sollicitées autant par les jeunes que par les opérateurs économiques. Ce chiffre porte à 2 639 le nombre d'entités activant dans ce créneau qui vient ainsi en tête des secteurs d'activité, suivi du commerce de détail, de la production et du commerce de gros. La wilaya compte au total pas moins de 7 000 entreprises, tous secteurs confondus. Nombre d'entre elles ont été créées dans le cadre des différents dispositifs de soutien à l'emploi des jeunes. Un projet d'assainissement pour Sobha Une bonne partie du siège de la comme de Sobha demeure sans réseau d'assainissement, ce qui pousse les habitants à utiliser des fosses septiques. C'est le triste décor qu'a eu à constater récemment le wali de Chlef lors d'une visite de travail dans cette localité. Il a ordonné au directeur de l'hydraulique de dégager une enveloppe supplémentaire pour l'éradication totale de ce point noir. Ces fonds permettront de compléter le montant nécessaire à la réalisation du réseau pour l'ensemble de l'agglomération. La décision du wali a été accueillie favorablement par les citoyens qui sont exposés à tous les risques de maladies du fait du déversement des eaux usées dans la nature.