Des habitants de la cité Zouaghi, plus précisément ceux des 500 logements, viennent pour la énième fois (voir 4 précédents articles à El Watan) attirer l'attention des autorités concernées sur le problème qui perdure au niveau de l'espace même sur lequel sont érigés certains bâtiments de la cité susmentionnée. Celui-ci s'est transformé en véritable lagune, devenant de plus en plus profonde à la faveur des fortes chutes de pluies enregistrées ces derniers temps, au point où les résidants ont recours à des subterfuges pour accéder à leurs immeubles. Par temps sec, cet indu étang se transforme en bourbier, rendant le passage encore plus pénible, surtout pour les enfants qui encourent, au quotidien, un danger certain sachant que quelques-uns ont déjà fait des chutes spectaculaires dans ce magma. « Comment a été réalisé le système d'évacuation des eaux pluviales dans cette partie de la cité ? » s'interroge-t-on ? Ce qui est clair, c'est qu'il existe bel et bien une défaillance par rapport à l'angle d'inclinaison des regards, lesquels n'absorbent pas systématiquement les eaux pluviales, ou celles provenant des fuites d'AEP ou autres égouts éclatés. Y aura-t-il enfin une réaction des services concernés ? Qui vivra verra !