Cité Zerhouni Mokhtar : Absence d'éclairage public La nouvelle cité Aadl des Bananiers, dans la commune de Mohammadia, est dépourvue d'éclairage public depuis plusieurs semaines. Selon les habitants qui ont pris attache avec notre rédaction, cette absence a fait sombrer leur quartier dans l'obscurité. Les habitants, qui ne se sentent plus en sécurité dès la nuit tombée, redoutent la multiplication des actes de vol et d'agression. D'ailleurs, nous informent les résidants, des appartements de cette cité ont été déjà visités par des cambrioleurs. Les habitants, qui interpellent les services concernés, assurent que l'installation de l'éclairage public renforcerait la sécurité de leur cité. Place des Martyrs : La déchéance La place des Martyrs à la Basse-Casbah n'en est plus une. Des détritus par-ci, des gargotes dégoulinantes par-là, rien dans cet espace, réduit comme peau de chagrin après le lancement des fouilles, ne pousse les habitants de la Basse Casbah ou ceux venant d'ailleurs de s'y installer. Les autorités communales, toujours promptes à réagir quand il s'agit d'un événement officiel, ne font pas le nécessaire pour rendre son lustre à cet espace qui se dégrade tous les jours encore plus. Le destin que connaît cette place est celui de toutes les places publiques à Alger : manque d'entretien, squat de l'espace par des sans-logis qui ne sont pas « délogés » et emmenés dans des endroits plus indiqués pour les accueillir. Bab El Oued : Cloaque à ciel ouvert Signalée plusieurs fois au niveau des services d'hygiène de l'APC de Bab El Oued, une canalisation d'eaux usées a été éventrée à la rue Omar Benaïssa (n°60), générant des odeurs pestilentielles et des MTH. « Nous avons attiré l'attention des services de l'APC, mais ces derniers ne daignent pas répondre et se contentent juste d'enregistrer notre grief qui relève de la salubrité publique », déplorent les habitants. La Casbah : Canalisation d'Aep éventrée Depuis plusieurs jours, une canalisation d'AEP a éclaté au niveau du numéro 15, rue Ali Amar (ex-Randon), déversant cette denrée précieuse le long de ladite rue. « A chaque fois, c'est le même problème qui se répète à cette hauteur », dira un riverain qui a interpellé les services concernés, vainement.