Un maître nageur décède après le sauvetage d'un enfant à Béjaïa Un maître nageur a perdu la vie, samedi, après avoir sauvé un enfant de 14 ans d'une noyade à la plage surveillée Ighzer Oublat, sur la côte de Souk El Tenine, 35 km à l'est de Béjaïa, indique un communiqué de la Protection civile. La victime, B. Fayçal, 27 ans, natif de Souk El Tenine, a été prise d'un malaise cardiaque, avant de rendre l'âme, et ce, juste après avoir secouru un enfant en difficulté, indique encore la Protection civile. Et de préciser que cet enfant de 14 ans, originaire de Biskra, avait été emporté par les vagues alors que la mer était très agitée ce jour-là (drapeau rouge). Pour le secourir, il a fallu donc «d'intenses efforts». Après avoir sauvé l'enfant, le maître nageur a fait quelques pas avec lui en vue de le réconforter, puis s'est effondré d'un coup. Il est décédé malheureusement durant son évacuation vers la polyclinique de Souk El Tenine, après plusieurs tentatives pour le réanimer, informe-t-on. Dans un autre communiqué, la Protection civile présente ses «sincères condoléances» à la famille du défunt, «mort en héros dans l'accomplissement de son devoir». Un imam et son assistant assassinés à New York Un imam et son assistant ont été tués par balle, samedi, à proximité d'une mosquée de New York, a indiqué la police, qui n'a pas avancé de mobile. Maulama Akonjee, 55 ans, et son assistant, Thara Uddin, 64 ans, ont été touchés à la tête peu avant 14h, heure locale (18h GMT) dans le quartier populaire d'Ozone Park, dans l'arrondissement du Queens. Ils ont été transportés à l'hôpital Jamaica, où le décès de l'imam Akonjee a été constaté et où son assistant, Thara Uddin, a succombé à ses blessures . La police a fait savoir qu'elle ignorait à ce stade les motivations du tireur. «Rien n'indique dans l'enquête préliminaire que les victimes ont été ciblées en raison de leur foi», a déclaré la police à des journalistes. Un homme soupçonné d'être l'auteur des coups de feu, et actuellement en fuite, s'est approché des deux victimes par derrière. Des témoins ont vu le suspect s'éloigner du lieu avec une arme de poing après les tirs, d'après la police. Selon des médias américains, les deux hommes ont été tués en sortant de la mosquée Al Furqan Jame Masjid, après la prière, en tenue religieuse. La plaque commémorative est retirée… La plaque commémorative érigée dans l'immeuble qui abritait d'octobre 1956 jusqu'à février 1957 les réunions du CCE (Conseil de coordination et d'exécutions), a disparu quelques jours seulement après son érection au 133, rue Krim Belkacem, à Alger. La raison est que dans le texte écrit sur la plaque, il y a une erreur historique. Au lieu d'écrire que l'appartement avait été découvert le 28 février 1957 (le jour où le propriétaire, Mohamed Ouamara dit Rachid fut arrêté et porté disparu à jamais), les autorités ont écrit le 08 février. Un petit détail qui a son importance en histoire. Depuis que l'erreur a été signalée, les responsables ont donc retiré la plaque sans doute pour apporter les correctifs nécessaires. Mais depuis janvier 2016, la plaque n'a pas été remise à sa place. A-t-elle été oubliée ?