De nouvelles spécialités sont introduites à l'occasion du lancement de la deuxième session de la formation professionnelle qui se déroule ce mois de février. L'un des domaines les moins fournis en main-d'œuvre qualifiée est la restauration du vieux bâti, ainsi que le secteur du bâtiment. Le besoin en cette spécialité a été exprimé, notamment, par des architectes, qui ont déploré, au cours des travaux de restauration de bâtiments anciens, comme la Casbah de Béjaïa et l'ancien tribunal, la rareté de cette main- d'œuvre. Cette formation est proposée dans le cadre d'une convention signée entre la DFP et une entreprise de travaux de bâtiment. D'autres conventions ont été signées pour former des jeunes dans le secteur de l'hygiène et de la propreté. Aussi, les jeunes désireux d'apprendre un métier peuvent s'orienter également vers les métiers de réparateur et d'installateur d'équipements sanitaires, l'installation de réseaux ou l'adoption d'une formation sur la transformation du plastique, une option d'avenir et écologique. Selon la DFP, les inscriptions se poursuivront jusqu'à la fin du mois en cours. Dans le même secteur, plusieurs accords de partenariat ont été signés entre la DFP et la direction de l'administration locale, et ce, pour lancer des formations dans les domaines des énergies renouvelables et la cuisine de collectivités. Ainsi, un autre accord a été signé entre la DFP et la CNAC pour des formations aux métiers du bâtiment, à savoir la maçonnerie, le coffrage, la peinture et la plâtrerie.