Le mois de Ramadhan a connu de nombreux cambriolages à Meskiana, Aïn Beïda et Oum El Bouaghi. Profitant de l'absence des familles, les voleurs agissaient à la faveur de la nuit pour dérober tous les objets de valeur. Dans tous les cas de figure, les victimes n'ont d'autre choix que de déposer plainte contre X, espérant que la police mette la main sur les cambrioleurs. Et c'est ce qui se produit souvent, surtout quand la police scientifique relève des empreintes pouvant confondre les auteurs des vols ou des crimes. Dernièrement, un citoyen habitant la cité An Nasr, à Oum El Bouaghi, a déposé plainte après le cambriolage de son domicile. Il a fait part du vol de 136 millions de centimes, d'une somme en devises et des bijoux. Il n'a pas fallu longtemps pour que la police judiciaire remonte jusqu'à la bande de malfaiteurs composée de quatre individus, dont une femme, chez qui fut récupérée une partie des objets volés. De même, chez l'un des voleurs, la police a saisi 36 têtes de moutons achetés avec l'argent volé. Trois parmi les auteurs du cambriolage ont été écroués, alors que le quatrième est en fuite.