La débâcle de Bakau a sonné le glas du couple ESS-Nabil Kouki. Contesté par une importante frange de supporters, le technicien tunisien n'est pas loin de la porte de sortie. Perdant la confiance d'une partie des proches du club et des fans qui contestent ses choix tactiques, son coaching et sa lecture des débats, Kouki n'a plus droit à l'erreur. La deuxième mi-temps du premier tour préliminaire pourrait être la dernière sortie de Kouki qui essaye de rejeter la déroute sur ses joueurs. A l'issue du cauchemardesque scénario, le coach ententiste zappe aussi bien la conférence de presse d'après-match que la page du club. En procédant de la sorte, il fuit ses responsabilités. L'incompréhensible manière de faire de l'entraîneur ne dérange pas ses employeurs inscrits aux abonnés absents. Faisant la pluie et le beau temps, Kouki qui n'a jamais accordé le moindre entretien à un organe de presse algérien, n'a pas jugé utile d'expliquer ou de justifier la déroute de Bakau coïncidant, faut-il le rappeler, avec le 200e rendez-vous international de l'Entente de Sétif. Advertisements