Grande a été la surprise d'une famille de Chlef lorsqu'elle a ouvert le cercueil d'un de ses proches ramené de l'hôpital Mustapha, samedi dernier. Elle découvrit à ses côtés le corps d'un enfant décédé dans le même établissement où ils étaient hospitalisés. Aussitôt, elle alerta les services de sécurité qui ont immédiatement déclenché une enquête pour faire la lumière sur cette affaire. Selon une source policière, les investigations ont abouti à l'identification de la victime qui était recherchée par ses parents à Alger. Elle a été transportée à la morgue de l'hôpital de Chlef en attendant d'être récupérée par ses proches qui étaient attendus, hier, dans la capitale du Cheliff. Quant à la dépouille du citoyen demeurant à Chlef, elle a été enterrée le même jour au cimetière de la ville. On croit savoir que la présence de deux cadavres dans le même cercueil est due à une « erreur » de l'agent chargé de la morgue au niveau de l'hôpital Mustapha. 1230 mosquées en France Le tiers des 1230 mosquées que compte la République française est encadré actuellement par des imams algériens. Certains dans un cadre contractuel, comme c'est le cas des 150 imams qui s'inscrivent dans cette formule, alors que le reste activent dans une relation directe et non officielle avec les autorités locales de ce pays. 190 000 touristes étrangers ont visité Oran Plus de 190 000 touristes de diverses nationalités ont séjourné à Oran durant cet été, a-t-on appris auprès d'un membre de la commission portuaire qui s'est réunie samedi dernier pour dresser le bilan de la dernière saison estivale. La même source a indiqué que ce chiffre représente une augmentation de 18% par rapport au nombre de touristes accueillis l'été dernier durant la même période. La commission, composée de représentants de l'entreprise portuaire d'Oran, des Douanes algériennes et de la police des frontières (PAF), a enregistré, depuis juin dernier, l'accostage de 476 navires de différents tonnages qui ont transporté 430 000 véhicules utilisés par les vacanciers. La même source, qui s'est félicitée des efforts fournis pour réussir la saison estivale 2005, a indiqué que la commission de facilitation se réunira le 30 septembre pour une évaluation exhaustive du bilan de la campagne 2005 et pour évoquer les mesures à prendre pour préparer l'été 2006. Tentative d'inceste à El Gammas En fuite depuis le 9 juillet dernier, le dénommé T. C., âgé de 23 ans, auteur d'une tentative de viol sur sa jeune sœur âgée de 14 ans, a été appréhendé la semaine dernière et présenté devant le tribunal compétent de Ziadia qui l'a inculpé pour les faits qui lui sont reprochés. D'après les éléments de l'enquête diligentée par les services de la 11e sûreté urbaine de la populeuse et déshéritée cité El Gammas, nichée sur l'un des versants de la forêt d'El Meridj de Constantine, c'est sous l'effet de psychotropes que l'auteur de cet acte odieux s'est introduit à 2h dans la chambre de sa sœur cadette et tenté d'abuser d'elle. Fort heureusement, les cris de sa victime ont alerté le reste de la famille et incité le violeur à fuir à la faveur de cette nuit qui a marqué à jamais toute la famille, notamment la fillette qui ne s'est toujours pas remise du grave traumatisme qui l'a affecté, d'après une source policière. Suicide dans les entrepôts de Satmaco Un homme de 58 ans a été retrouvé dans la soirée de vendredi pendu à l'une des poutres des entrepôts de l'entreprise Satmaco basée à Aïn Abid, une localité située à une quarantaine de kilomètres de Constantine, le chef lieu de wilaya. A l'hôpital Mohamed Boudiaf d'El Khroub, où a été transféré le corps, le médecin légiste a estimé l'heure du décès à 17h25 et les causes apparentes à la strangulation seraient liées au geste désespéré de ce chef de famille qui traversait une période difficile, si l'on en croit une source autorisée. Toutefois, l'enquête en cours menée par les éléments de la sûreté de daïra déterminera dans les jours à venir s'il s'agit bien d'un suicide et non d'un crime camouflé. Une hypothèse que la rumeur a été prompte à faire circuler dans la paisible localité de Aïn Abid, mais qui ne repose, en l'état actuel des choses, sur aucun élément probant.