Les résidants de la cité des 250 logements sont en colère en raison de l'insalubrité qui règne dans leur quartier. Une situation due, surtout aux odeurs nauséabondes provenant du marché improvisé du poulet, jouxtant leur cité. Sur place, chiens et chats se disputent à longueur de journée des abats de volaille abandonnés sur place. En l'absence d'un espace agréé d'abattage, les vendeurs de volaille se rencontrent tous dans cette cité pour des opérations d'abattage et de vente de viandes blanches en plein air. Pourchassés par la police, ces vendeurs reviennent au galop aussitôt le calme revenu. Les habitants interpellent une fois de plus les responsables concernés pour mettre fin à une situation qui perdure.