-Aïn Benian : Retard dans la réfection des trottoirs Les habitants de la ville de Aïn Benian demandent l'accélération des travaux de réfection des trottoirs. Ce chantier a été entamé depuis plusieurs semaines, mais seule une partie de la chaussée a été refaite. L'essentiel des trottoirs concernés par les travaux reste toujours éventré et difficilement praticable, surtout suite aux dernières pluies. Une situation qui incommode les piétons, obligés à certains endroits à emprunter la voie automobile. -Zéralda : Route difficilement praticable Les habitants de la cité Bab El Oued dans la commune de Zéralda demandent l'aménagement de l'espace séparant la route de leur quartier. Des citoyens ont souligné que cette voie se transforme en un vrai bourbier en hiver. Pourtant, des centaines d'habitants l'empruntent quotidiennement, d'autant qu'elle est située à proximité d'un arrêt de bus et permet aux résidants des quartiers limitrophes d'y transiter pour rejoindre le centre-ville. Aussi, les habitants ont demandé le ramassage régulier des ordures, une tâche délaissée par les services concernés qui abandonnent durant la journée des amas de détritus. -Sidi M'hamed : Gravats au Musset Des résidants à Sidi M'hamed, ne pouvant engager des camionneurs privés, entreposent des gravats au niveau du chantier du Musset, sur la rue Belouizdad. «Les habitants qui mènent des travaux entreposent, sans craindre la réaction des autorités locales ou même de la police, leurs détritus à l'entrée du terrain vague, pourtant clôturé. L'EPIC Asrout est obligé, à chaque fois, de charger ces sachets remplis de gravats», s'indigne un habitant de la rue Belouizdad, qui voit chaque nuit une procession de personnes qui viennent décharger leurs sachets. Ces personnes indélicates, pourtant informées de l'irrégularité de leur geste, reviennent chaque fois à la charge. «Des îlotiers de l'APC de Sidi M'hamed doivent être payés pour verbaliser les contrevenants», suggère-t-on.