-Anarchie à la station de Taxi du Caroubier Les chauffeurs de taxi à la station du Caroubier n'en finissent pas de subir les méandres d'une situation pénalisante. L'anarchie qui prévaut au niveau de la station est à l'origine de cette situation. «Certaines lignes ont été renforcées jusqu'à saturation, alors que d'autres connaissent un manque flagrant», affirme un chauffeur de taxi. En effet, certaines destinations sont largement couvertes, à l'instar d'Oran qui est desservie par 140 taxis, d'autres destinations telles que Skikda ou Annaba ne le sont que par deux taxis. Cette situation reflète l'absence totale de stratégie de la part des gestionnaires, qui font dans l'improvisation. «La gestion des destinations devrait répondre à une étude minutieuse qui prenne en compte les besoins réels», assure A. Kaddour, chauffeur de son état. -Verte rive à Bordj El Kiffan : des ralentisseurs à foison Quelques habitants de Verte Rive dans la commune de Bordj El Kiffan, peu soucieux des dommages qu'ils peuvent causer à autrui, ont installé un grand nombre de dos-d'âne. Les ruelles de la cité qui, d'habitude, connaissent une fluidité remarquable en termes de circulation routière, sont devenues par le fait de ces ralentisseurs posés anarchiquement, des lieux où la congestion est omniprésente. «Devant chaque maison, un ralentisseur en béton est érigé pour obliger les voitures à ralentir», déplore un habitant de la cité, avant d'ajouter : «Ces ralentisseurs sont abrupts et escarpés, ils endommagent les véhicules.» Si la pose de dos-d'âne diminue les accidents de la circulation, il convient néanmoins de les faire poser par l'autorité compétente.