-Kasr El Abtal : des jeunes ferment le siège de l'APC Des dizaines de jeunes de Kasr Abtal, dans la daïra d'Aïn Oulmène, ont procédé hier matin à la fermeture du siège de la commune. La répartition des 38 postes de travail d'agent de sécurité dans des établissements publics est la cause du mouvement.Les jeunes n'ont pas apprécié les travaux réalisés par une commission de la commune. Pour atténuer la colère des recalés, le P/APC de la localité a négocié avec les mécontents rassurés par leur interlocuteur, qui a promis de prendre en charge leurs doléances. -El Eulma : drame à la cité des 800 Logements CNEP Brûlée au 3ème degré dans l'incendie survenu, jeudi dernier, dans son appartement sis à la cité des 800 logements CNEP suite à une altercation avec un de ses amis, la victime B.C., âgée de 38 ans, hospitalisée depuis au service de chirurgie femme à l'hôpital Saroub El Khatir, est décédée, avant-hier, des suites de ses graves blessures, rejoignant ainsi sa petite fille, âgée de 3 ans, morte calcinée dans ce drame. -Les vols de voitures continuent En dépit des multiples coups de boutoir assénés par les services de sécurité aux bandes de malfaiteurs à travers l'ensemble du territoire de la wilaya de Sétif, plus particulièrement à El Eulma, un autre vol de voiture a été commis avant-hier au petit matin en plein centre-ville, plus précisément à la rue Mohamed Khemisti. Le véhicule volé est, encore une fois, une Renault Symbol, une de plus qui vient s'ajouter à une longue liste qui avoisine la quarantaine depuis le début de cette année dont le un tiers sont des Renault Symbol. Une enquête a été ouverte par la police pour élucider ce phénomène dont la cible privilégiée reste ce type de véhicule. -Bougaâ : des cités sans eau Les robinets des habitations de bon nombre de quartiers de Bougaâ, l'une des plus importantes agglomérations de la wilaya de Sétif, sont à sec depuis 12 jours. Les citoyens qui ont soif s'impatientent. La pénurie n'a pas épargné les mosquées en manque elles aussi du liquide précieux. Le recours aux citernes accentue la déprime des petites bourses ne pouvant faire face à des dépenses supplémentaires. L'on apprend que cette situation résulte de la vétusté de la canalisation principale alimentant l'agglomération, approvisionnée par le barrage d'Aïn Zada. Le manque d'eau attise la colère de citoyens à bout de nerfs.