En plus du fait qu'ils bloquent entièrement la rue par laquelle la plupart des locataires de la cité rejoignent leurs appartements respectifs, des marchands squatteurs à la cité Cosider sise à Bordj El Bahri, raccordent leurs commerces informels au réseau électrique urbain par des branchements de fortune aux lampadaires. Si la plupart des habitants de la cité ont fini par accepter l'implantation de ce marché informel sous leurs fenêtres, avec tout ce que cela engendre comme désagréments, ils n'arrivent pas à admettre l'utilisation des lampadaires de l'éclairage des rues de la cité, pour faire fonctionner les balances électriques et éclairer les étals de ces indus occupants. Par ailleurs, les services de l'APC, dont dépend la gestion de l'éclairage public, sont au courant de cette situation que les citoyens dénoncent depuis belle lurette.