Arrestation d'un faux-monnayeur à Tizi Ouzou Suite à une plainte d'un citoyen pour escroquerie avec de faux billets de banque en devise à l'encontre d'un ressortissant africain, les forces de police de la brigade économique et financière, relevant de la sûreté de la wilaya de Tizi Ouzou, ont ouvert une enquête qui a abouti à l'arrestation du ressortissant de nationalité nigériane, à la nouvelle gare routière de Tizi Ouzou, et à la saisie de produits destinés à la contrefaçon de billets de banque et d'un coffre contenant des coupures de papier au format de billets de banque. Présenté au parquet, le 11 février, pour «escroquerie», «détention de produits destinés à la contrefaçon de billets de banque» et «entrée et séjour irréguliers», il a été mis en détention préventive. 4 morts et 4 blessés dans un accident de la circulation Quatre personnes sont décédées et quatre autres ont été blessées, hier, dans un accident de la route survenu sur l'autoroute Est-Ouest, sur le territoire de la wilaya de Aïn Defla, selon la direction générale de la Protection civile. L'accident s'est produit au lieudit Zeddine lorsqu'un camion transportant un liquide inflammable a subitement pris feu, avant de percuter de plein fouet six véhicules touristiques, causant le décès de 4 personnes, dont 3 calcinées, et des blessures à 3 autres, a-t-on indiqué de même source. Aussitôt alertés, les éléments de la Protection civile sont intervenus, mobilisant 25 éléments, 3 ambulances et 2 camions pour le transfert des victimes vers l'hôpital Mekkour Hamou du chef-lieu de wilaya, a-t-on précisé. Parmi les victimes, une personne blessée a rendu l'âme après qu'elle soit admise au service des urgences.. 300 livres cherchent bibliothèque ! Détenant plus de 300 livres dans plusieurs domaines, Youcef Boumaâza veut faire un don des ouvrages qu'il possède à une bibliothèque digne de ce nom. Habitant Blida, il se heurte toutefois au manque flagrant de bibliothèques dans cette ville et sa région. Du coup, il ne sait plus à qui s'adresser pour remettre les livres aux bonnes personnes, plutôt aux bonnes institutions. «Les ouvrages que je détiens sont anciens, pour ne pas dire inédits pour certains d'entre eux. Ils traitent de la littérature arabe, française ou universelle d'une manière générale, des sciences exactes comme les maths et la physique… Mon rêve est de les donner à ceux qui connaissent leur vraie valeur, qui prennent soin d'eux et qui les mettent à la disposition du grand public comme la Bibliothèque nationale», insiste Youcef Boumaâza, artisan-pâtissier de métier et amoureux de livres. Dans le passé, il a déjà fait un don d'une soixantaine d'anciennes bobines contenant des musiques du patrimoine au ministère de la Culture. Pour contacter le concerné : 0560 28 27 74. Un enfant de quatre ans sauvé des flammes à Sougeur Un enfant de quatre ans a été sauvé d'une mort certaine, samedi, alors qu'il s'est trouvé piégé à l'intérieur du véhicule de son père. Ce dernier, qui a laissé son fils enfermé, parti rendre visite à un malade à l'hôpital Guermit Naceur de Sougueur, est revenu quelque temps après pour constater les dégâts, mais retrouva son fils sain et sauf grâce à l'intervention énergique des passants. Les secouristes ont eu du mal à éteindre le feu qui s'est rapidement propagé du fait d'un court-circuit. L'indélicatesse du président de la Chambre de commerce Hier, lors de la visite à Tlemcen de l'ambassadeur de Turquie à Alger, le président de la Chambre de commerce et d'industrie La Tafna, Abdelhak Boublenza, s'est transformé en censeur de débats avec peu d'élégance. En effet, à une question sur les échanges dans les domaines politique et sécuritaire entre nos deux pays, alors que le représentant du gouvernement d'Erdogan avait déjà entamé sa réponse, en précisant que c'était une très bonne question, M. Boublenza a coupé net l'ambassadeur, tout en s'adressant aux journalistes en ces termes : «Ici, on parle économie, pas politique !» Une indélicatesse fort embarrassante pour l'invité qui, malgré cette injonction, terminera sa réponse jusqu'au bout. Après cela, des confrères ont quitté la salle en signe de protestation contre cette «injonction» inexplicable d'un opérateur économique algérien, fut-il représentant d'une Chambre de commerce et d'industrie.