Certains comportements ayant caractérisé les précédentes saisons estivales ont la vie dure. C'est ce que remarquent les citoyens à certains endroits. Le moindre relâchement est immédiatement mis à profit par certains jeunes qui se remettent à dicter leur loi en ville ou à la plage. A Jijel, par exemple, certains jeunes ont commencé à tenter de se faire payer du côté de la plage Kotama pour le stationnement dont une place indique clairement qu'il est gratuit. Dans certaines plages, continuellement contrôlées par les services de la gendarmerie, il n'est pas rare de voir des parasols, tables et chaises plantés le long du rivage provoquant la grogne de certains estivants. Cette image est particulièrement tenace du côté de Challat, dans la commune d'El Aouana. D'aucuns espèrent que les interventions menées jusque-là et ayant mis la pression sur les squatteurs illégaux ne soit pas relâchée pour ne pas voir la saison estivale ternie à sa fin en donnant, une fois encore, une mauvaise image de la région à travers ces pratiques. C'est dire que la vigilance doit être de mise devant certains comportements.