- AADL de Ouled Fayet : Pas d'eau aux robinets Depuis quelques jours, les habitants de la cité AADL Oulami Ahmed, à Ouled Fayet, subissent une coupure d'eau qui dure depuis presque une semaine maintenant. Selon une habitante d'un des immeubles que compte la cité Oulami Ahmed, une coupure d'eau avait été prévue il y a deux semaines pour des travaux sur une canalisation, mais d'après elle, l'eau qui était revenue dans les robinets a disparu de nouveau sans crier gare. Elle explique aussi que selon les plans de construction, chaque immeuble devrait être équipé d'une bâche à eau, afin de venir au secours des habitants en cas de coupure d'eau qui tarde dans le temps. «Mais a y regarder de près, le réservoir d'eau n'est pas présent, et même s'il a été construit, l'eau n'arrive pas au robinet», dénonce notre interlocutrice. Jusqu'au retour de l'eau courante, les habitants des immeubles doivent faire avec les moyens du bord. «Pour ceux qui habitent au premier jusqu'au 4 étage, tout va bien, mais avec les ascenseurs en panne, on est obligés de transporter des fardeaux d'eau minérale pour l'usage quotidien», conclut-elle. - Stationnement : Des commerçants squattent la chaussée Après la chasse aux parkingueurs, les services de police doivent maintenant combattre un phénomène qui prend de plus en plus d'ampleur, c'est le squat des espaces publics par des commerçants. A travers les rues d'Alger, des centaines de commerçants n'hésitent pas à mettre sur la chaussé des objets de toutes sortes pour s'assurer une place de stationnement. En effet, on peut voir des chaises, des cagots, des paniers à pain et même des sacs de gravats. Tout ceci provoque chez les conducteurs, qui cherchent une place où garer leur véhicule, un sentiment d'exaspération et de colère. Un conducteur suggère à la police de faire la chasse aux commerçants qui accaparent des morceaux de chaussée. «Le panier ou les chaises sont mis en avant toute la journée pour qu'à la fin un véhicule stationne devant le magasin pendant quelques minutes et reparte aussi tôt», s'indigne-t-il. Selon notre interlocuteur, la police devrait réprimander ce genre de comportement pour éradiquer ce phénomène.