- Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, a affirmé qu'il était temps que la parole et la décision reviennent au peuple, souhaitant voir lors de ces élections des résultats à la hauteur des efforts consentis. - Djamel Ould Abbès, secrétaire général du FLN, s'est dit «convaincu» que son parti «aura le dernier mot» à la fin de ce processus électoral. «Je suis convaincu que le parti FLN aura le dernier mot. Le début de campagne a été timide, mais les choses se sont améliorées et les citoyens ont pris conscience de l'importance de cette échéance.» - Abdelmalek Bouchafa, premier secrétaire national du Front des forces socialistes (FFS), a indiqué à Constantine que sa formation politique a «confiance en le peuple pour mener le changement radical attendu, en participant au vote et barrer la voie aux dépassements». Il a insisté sur «l'importance de la participation à ce scrutin pour permettre le changement radical espéré de manière organisée et sereine. Le boycott ouvre la voie à des pratiques frauduleuses». - Mohcine Belabbas, président du RCD, a affirmé que son parti a de «fortes chances» de rafler «beaucoup» de sièges dans la future APN. «Dans les wilayas où il s'est présenté, le RCD a de fortes chances d'avoir beaucoup de sièges», a-t-il dit. Il déclare espérer que le choix des votants soit «respecté». Il soutient avoir eu écho «d'anomalies» dans certains centres de vote de la capitale. L'administration est appelée à «mieux organiser» le processus de ce scrutin. - Amar Ghoul, président du parti TAJ, a indiqué que le boycott des élections «n'est pas de nature à construire les institutions ni à améliorer les choses», estimant que «c'est la participation qui permet d'opérer un changement positif et de dépasser les difficultés économiques et financières» que connaît l'Algérie. Le boycott est «un droit mais pas la solution». - Abderrazak Makri, président du MSP, a exprimé hier à M'sila son optimisme quant aux élections législatives en cours et son espoir que ce scrutin soit de «bon augure et porteur d'entente pour l'Algérie». C'est une opportunité pour «préserver le pays contre les crises qu'il a eu à affronter par le passé et une occasion pour le redressement et le décollage pour lesquels milite le MSP». - Abdelmadjid Menasra, président du Front du changement (FC) et tête de liste de l'alliance du MSP, a précisé avoir remarqué que certains présidents d'APC à Alger ont écarté les «véritables» surveillants des bureaux de vote et ont choisi, selon lui, des encadreurs «partisans». Il a appelé la Haute instance indépendante de surveillance des élections (HIISE) à assumer son rôle face à ces dépassements.