La vieille personne décédée accidentellement jeudi dernier du côté de la voie ferrée à hauteur du centre de Khazrouna, dans la commune de Beni Mered, pose le problème de la sécurisation des lieux le long de la voie. Diar El Bahri, autre grand centre urbain dans la même commune, se trouve également exposé aux dangers du passage des trains. Rien ne vient empêcher les enfants et les vieilles personnes de s'approcher des rails. Plus grave, les habitants dans le voisinage ainsi que les travailleurs, en grand nombre dans les métiers du plâtre, empruntent à tout moment le passage sans qu'il y ait la moindre présence d'un employé de l'entreprise ferroviaire pour réguler les traversées. Quand il est constaté l'installation des fils électriques nécessaires pour les trains électriques, la question de la sécurité des personnes et des biens se pose avec acuité. Un lycée a ouvert dernièrement ses portes juste à côté de la voie, mais aucun mur de clôture n'a été dressé dans le périmètre immédiat, même un stade est en chantier, n'empêchant nullement les jeunes de s'adonner à leur sport favori. Mais qui, parmi les responsables à différents niveaux, a pris la précaution de préserver la sécurité des citoyens ?