Alger- Selon des sources judiciaires à Ennahar, le tribunal d'Alger statuera le sept septembre prochain dans une affaire d'attentat à la pudeur, incitation de mineur à la débauche avec échange de photos relié au sujet. Affaire dans laquelle sont impliqués deux cadres de la police relevant de la huitième sûreté urbaine du Premier Mai à Alger avec deux jeunes filles, considérées par nos sources comme des lesbiennes dont une mineure. Cette dernière sera présentée devant le tribunal en qualité de victime bien qu'elle n'ait jamais été présentée pendant les différentes étapes de l'enquête qui a débutée au mois de décembre de l'année dernière. Cette affaire, selon nos sources, a été découverte lors d'un complot qui visait le collègue d'un fonctionnaire de ma police qui est l'accusé principal dans l'affaire. Ce dernier a voulu se venger de son ami après avoir vu les photos indécentes et des vidéos dans les bureaux de la sûreté urbaine. Les photos et vidéos étaient prises à l'aide du téléphone portable du policier accusé. Son ami lui vole son téléphone pour télécharger les photos et les vidéos, qu'il a ensuite montré à son supérieur. Ce dernier, sur instruction, ouvre une enquête et les deux policiers furent arrêtés et présentés à la justice. Selon nos sources, les faits remontent à l'année 2007, mais en décembre 2008, celle ci à été révélé à cause de la rancune gardé par le policier contre son collègue. L'erreur commise par l'accusé principale était d'avoir gardé les photos sur son téléphone portable alors qu'il pouvait les supprimer. Toujours selon nos sources, à la date des faits, l'accusée arrêtée s'était présentée en compagnie de son amie mineure devant la sûreté urbaine du Premier Mai à une heure tardive dans le but de rendre visite à une de leurs amies arrêtée en état d'ébriété très avancée. Les deux jeunes filles étaient connues pour leurs mœurs légères, connues aussi par les services de police. Dans le bureau des deux policiers accusés, l'une d'elle commença à faire des actes indécents avec son amie. Le policier, en tenue officiel, assis à son bureau, leur demanda de continuer leurs jeux leur proposant de les prendre en photos. Elles acceptèrent et le deuxième policier s'approcha d'elles et commença à les toucher. Lorsque les filles sont sorites, le policier montra les photos qui l'ont mené droit à la prison. Un des deux policiers avait plus de treize années de service. Par ailleurs, nos sources indiquent que l'accusée et son amie ont renié, lors de l'audience, les faits, déclarant que quand elles étaient entrées au bureau de police, l'une d'elle avait allumé une cigarette et que l'autre lui avait pris de force la cigarette de la bouche. Elles nièrent avoir pratiqué le sexe dans le bureau. Les deux policiers ont eux aussi niés les faits. Affaire à suivre.