Le fils du leader libyen Mouammar Kadhafi, Hannibal, a planifié de faire sauter l'aéroport de Genève et d'importantes infrastructures en Suisse en chargeant un barman algérien, travaillant dans des centre de détente pour hautes personnalité à Tripoli, de cette mission. Les attentats devaient ensuite être attribués à l'organisation El Qaïda. Les services de sécurité ont mis en détention l'algérien qui s'est enfuit en Algérie, après avoir fournit d'importantes informations au consulat de France à Annaba. La chambre d'accusation du tribunal d'Alger a transféré le dossier d'une des affaires les plus graves relatives à l'espionnage, à la cour pénale. Celle-ci sera probablement programmée vers la fin de la session pénale actuelle. L'accusé principal dans cette affaire, le dénommé « Iskander » aurait déclaré que le fils du leader libyen Kadhafi, Hannibal, l'avait chargé d'une mission secrète en Suisse et en Angleterre et en France, qui consistait à commettre des attentats à l'aéroport international de Genève et dans de grandes infrastructures économiques qui seraient par la suite attribués à l'organisation d'El Qaïda, ce qui l'aurait poussé, selon ses dires, à s'enfuir vers l'Algérie le 7 mars 2010 par Debdab où il avait informé les autorités algérienne de tout ce qui lui était arrivé en Libye, de peur d'être accusé d'espionnage. A Annaba, il s'est dirigé vers le consulat de France où il avait demandé le numéro de l'ambassade de Suisse pour les informer de ce qui est arrivé au dénommé « Kamel Mortada ». Il est alors détenu à l'intérieur de l'ambassade pendant 20 jours et interrogé sur Hannibal Kadhafi.