Les évènements qui se sont succédé tout au long de l'année en cours ont confirmés les doutes des algériens sur la poursuite de la mentalité coloniale des officiels français envers l'Algérie et leur nostalgie. Les évènements qui se sont succédé tout au long de l'année en cours ont confirmés les doutes des algériens sur la poursuite de la mentalité coloniale des officiels français envers l'Algérie et leur nostalgie. L'année des révolutions arabes, ou le printemps arabe comme aime l'appeler l'Occident en cette année 2011 a été l'occasion pour le président français Nicholas Sarkozy pour essayer d'imposer sa logique et sa vision sur Algérie qu'il souhaite transformer en vache à lait et profiter de ses richesse car, sous-estimant son peuple qu'il a toujours considéré indigène chez le nouveau colonisateur. Non seulement la France refuse de reconnaitre ses crimes en Algérie durant la période coloniale mais elle a maintes fois essayé d'inciter au chaos et faire chuter le régime par le biais de ses valets en Algérie, qu'on qualifiait de « Parti de la France » sans aucune exagération. Avec le temps, l'Algérie est devenue une cible de tous les côtés. Sur le front l'ouest par un adversaire intime qui ne cache pas son alliance avec la France au détriment de l'Algérie depuis des dizaines d'années. Sur le front est, un régime fragile qui ne peut pas exprimer son opposition au régime de Paris et sur le front sud, une région ouverte aux chaos suscitant des craintes et des cauchemars. La France qui a toujours soutenu le régime du Makhzen depuis la fin des années soixante, non pas pour les beaux yeux des marocains, mais par rancune envers les algériens et envers le défunt président Houari Boumediene, qui a refuser de raser ses moustaches devant l'ancien colonisateur. Aujourd'hui, le danger est plus grand et la France commence à caresser son vieux rêve perdu, celui de revenir en Algérie d'une autre manière, en imposant un protectorat à l'image des Etats Unis en Afghanistan.