Choukrouni Dris : «C'est un moment qu'on ressent au plus profond de nous-mêmes. C'est un moment que l'on vit et c'est difficile de le dire et de l'exprimer, parce que ça vient du cœur.» Mimouni Fatma Zohra : «Je suis très contente et tout émue.» Bouziane Ben Achour : «Je suis très honoré de cet hommage. Je serais encore plus honoré si des hommages étaient rendus à tous les artistes, notamment les anonymes qui travaillent dans l'ombre et œuvrent d'une manière active – mais dans des conditions très difficiles – pour le développement de la pratique théâtrale.» El Hachemi Noureddine : «Cela a été une surprise pour moi. Je suis heureux et ému, d'autant plus que j'ai vécu dans ce théâtre, et j'en garde de bons souvenirs. J'y ai grandi. Je souhaite de tout mon cœur que la nouvelle génération continue à créer et à faire mieux.» Kenadsi Brahim : «Je suis ravi et heureux. L'hommage qui nous est rendu est beaucoup plus pour les jeunes de demain : c'est pour les susciter et les encourager à travailler et à innover davantage dans la création.»