Kenneth Branagh serait le choix numéro un de Disney pour réaliser le film Artemis Fowl. Une adaptation d'une série de huit romans publiés de 2001 à 2012 par l'irlandais Eoin Colfer. Le succès du Cendrillon réalisé en live action cette année par Branagh confirme le crédit dont dispose le réalisateur au sein du studio. Disney aurait mis au boulot le dramaturge irlandais Conor McPherson au travail sur le script. Artemis Fowl est un jeune génie du crime de 12 ans qui découvre l'existence du Pays des Fées et s'y embarque pour sauver son père. En gros, il s'agit d'un mélange de science-fiction, d'espionnage et de fantasy féérique. Le projet de film Artemis Fowl remonte au moins à 2001 quand la planète attendait en frémissant la sortie d' Harry Potter à l'école des sorciers au cinéma. Harvey Weinstein acheta les droits pour son studio Miramax mais le projet ne dépassa pas le stade du script. En 2011, Jim Sheridan devait réaliser l'adaptation. Sans résultat concret. En juillet 2013, Disney annonça la résurrection d'Artemis Fowl sur grand écran adaptant les deux premiers romans de la série, écrit par Michael Goldenbger (scénariste de Harry Potter et l'Ordre du Phénix). Rien sur le radar depuis deux ans, jusqu'à l'annonce d'aujourd'hui. La routine sportive de Joe Manganiello l Dans une interview, Joe Manganiello (38 ans) a levé le voile sur sa routine sportive. Pour entretenir son corps d'acier, l'acteur américain s'entraîne trois à quatre fois par semaine avec le coach sportif Ron Matthews dans une salle qu'il surnomme «l'antre de la douleur». Dans cette salle, la star de Magic Mike XXL soulève des altères qui pèsent entre 100 et 135 kilos ce qui explique en partie sa musculature développée. Mais derrière une grande force physique, le fiancé de Sofia Vergara doit sans cesse faire preuve d'une très grande force mentale pour venir à bout de ces séances d'entraînement intensives. «À un moment donné j'ai dix séries à faire et je n'en suis qu'à la cinquième ou pire encore, la quatrième. Mon corps flanche et même mon cerveau commence à paniquer parce qu'il ne visualise même pas comment réaliser la prochaine poussée ni même la série suivante, a-t-il raconté. Alors que je suis sur le point d'abandonner, je réfléchis sur les raisons qui me poussent à faire ça. Alors que je n'ai pas de films à préparer et que je m'entraîne sans raison particulière. C'est à ce moment-là qu'on devient plus fort. C'est à ce moment précis, quand on parvient à traverser ce fossé. La force est à l'intérieur de soi.» Cette volonté de fer et sa détermination, l'acteur qui a joué dans la série True Blood la puise en lui-même depuis sa plus tendre enfance. En grandissant, le brun ténébreux a toujours eu une tête de plus que les autres enfants, raison pour laquelle il s'est tourné vers le sport sans pour autant délaisser une certaine stimulation intellectuelle. Ainsi a-t-il expliqué qu'alors même qu'il était capitaine de l'équipe de foot, il traînait aussi avec les intellos de sa classe. Un mélange des genres explosif ! Taylor Swift accusé d'être «colonialiste» l C'est une polémique dont la chanteuse se serait bien passée. Alors qu'elle a dévoilé son dernier clip, «Wildest Dreams», Taylor Swift se retrouve au cœur de la tourmente, accusée par plusieurs médias d'avoir sorti un clip colonialiste. Dans la vidéo, tournée par Joseph Kahn, Taylor Swift incarne une actrice qui tombe amoureuse de son partenaire de tournage, en Afrique (Scott Eastwood), dans les années 50. Mais le mariage entre glamour et colonialisme ne passe pas pour certains critiques américains. Lauren Duca, journaliste du «Huffington Post» américain, ne mâche pas ses mots à l'encontre de la chanteuse : «Plutôt que de s'approprier une culture, ce qui est pratiquement devenu chose courante dans la pop musique, Taylor Swift a opté pour une option plus audacieuse qui consiste tout simplement à incarner l'exploitation politique d'une région du monde et de ses habitants. La journaliste enfonce le clou en comparant le clip de «Wildest Dreams» à «Pocahontas», accusé à l'époque de sa sortie (1995) de véhiculer des stéréotypes racistes. The Daily Dot, quant à lui, rappelle que ce n'est pas la première fois que Taylor Swift est accusée «de racisme accidentel». Son clip «Shake It Off» avait également fait parler de lui à cause d'une scène où Taylor Swift rampe sous les jambes d'une jeune femme noire en train de twerker. Au sujet de «Wildest Dreams», le «Daily Dot» note : «Pour un clip qui se passe en Afrique, il est à peu près aussi blanc qu'un marché fermier du dimanche matin». Dans une tribune, deux journalistes de la NPR (National Public Radio) expriment leur sentiment de malaise après le visionnage de la vidéo : «Il est choquant de voir qu'en 2015, Taylor Swift, sa maison de disques et ses producteurs pensent qu'il n'est pas dérangeant de filmer une vidéo qui présente une version «glamour» du fantasme colonialiste blanc au sujet de l'Afrique». La radio américaine rappelle à Taylor Swift et à son équipe que «le colonialisme n'a jamais été ni romantique ni beau. La période était brutale et les traitements abusifs.» Taylor Swift accusé d'être «colonialiste» l C'est une polémique dont la chanteuse se serait bien passée. Alors qu'elle a dévoilé son dernier clip, «Wildest Dreams», Taylor Swift se retrouve au cœur de la tourmente, accusée par plusieurs médias d'avoir sorti un clip colonialiste. Dans la vidéo, tournée par Joseph Kahn, Taylor Swift incarne une actrice qui tombe amoureuse de son partenaire de tournage, en Afrique (Scott Eastwood), dans les années 50. Mais le mariage entre glamour et colonialisme ne passe pas pour certains critiques américains. Lauren Duca, journaliste du «Huffington Post» américain, ne mâche pas ses mots à l'encontre de la chanteuse : «Plutôt que de s'approprier une culture, ce qui est pratiquement devenu chose courante dans la pop musique, Taylor Swift a opté pour une option plus audacieuse qui consiste tout simplement à incarner l'exploitation politique d'une région du monde et de ses habitants. La journaliste enfonce le clou en comparant le clip de «Wildest Dreams» à «Pocahontas», accusé à l'époque de sa sortie (1995) de véhiculer des stéréotypes racistes. The Daily Dot, quant à lui, rappelle que ce n'est pas la première fois que Taylor Swift est accusée «de racisme accidentel». Son clip «Shake It Off» avait également fait parler de lui à cause d'une scène où Taylor Swift rampe sous les jambes d'une jeune femme noire en train de twerker. Au sujet de «Wildest Dreams», le «Daily Dot» note : «Pour un clip qui se passe en Afrique, il est à peu près aussi blanc qu'un marché fermier du dimanche matin». Dans une tribune, deux journalistes de la NPR (National Public Radio) expriment leur sentiment de malaise après le visionnage de la vidéo : «Il est choquant de voir qu'en 2015, Taylor Swift, sa maison de disques et ses producteurs pensent qu'il n'est pas dérangeant de filmer une vidéo qui présente une version «glamour» du fantasme colonialiste blanc au sujet de l'Afrique». La radio américaine rappelle à Taylor Swift et à son équipe que «le colonialisme n'a jamais été ni romantique ni beau. La période était brutale et les traitements abusifs.» Steven Spielberg à propos des films de super-héros l «On était là quand le western est mort, et il y aura un moment où le film de super-héros connaîtra le même sort que le western», a déclaré Steven Spielberg, philosophe, dans une interview. «Bien sûr, en ce moment, les films de super-héros sont en pleine forme. Je dis juste que ces cycles ont une durée de vie limitée dans la culture populaire. Un jour, les histoires mythiques seront racontées à travers un autre genre, et peut-être qu'un jeune réalisateur est en train d'y réfléchir...» Spielberg, qui n'a jamais réalisé de film de super-héros stricto sensu (même Indiana Jones n'est pas un super-héros masqué -pas vraiment), s'inquiétait déjà en 2013 avec son copain George Lucas de la possible implosion d'Hollywood à cause des blockbusters, un genre qu'ils ont tous deux créés avec Les Dents de la mer et Star Wars. On prévoit au moins 24 films de super-héros à Hollywood jusqu'en 2020, en comptant les productions de Disney, Warner et de la 20th Centurry Fox. Ce n'est pas tellement si l'on rapporte ce chiffre au nombre total de films produits à Hollywood chaque année, mais leurs budgets énormes, leur promo envahissante et leurs succès fous ont tendance à écraser tout le reste. Ceci dit, Spielberg a raison : c'est une mode et comme toutes les modes, ça s'arrêtera bien un jour. Vincent Cassel s'invite à Hollywood l Vincent Cassel sera à l'affiche du prochain film de la saga consacrée à Jason Bourne, le tueur de la CIA atteint d'amnésie. Vincent Cassel jouera le rôle d'un assassin aux trousses de Bourne, qui répondra au nom de code «The Asset» («l'Atout», en français). Pour la première fois, Matt Damon a contribué à l'écriture du scénario du film, qui prendra place dans le contexte actuel d'austérité qui frappe l'Europe. Le tournage devrait débuter dans le courant du mois de septembre. Le long métrage, qui n'a pour l'instant pas de titre français, sera réalisé par Paul Greengrass, qui était déjà derrière la caméra pour deux des films de la saga Jason Bourne : «La Mort dans la peau» (2004) et «La Vengeance dans la peau» (2007). C'est loin d'être la première fois que Vincent Cassel interprète un rôle de «vilain» dans un film américain. L'acteur jouait déjà les méchants dans plusieurs blockbusters : «Ocean's Twelve» (2004), «Ocean's Thirteen» (2007), et «Les Promesses de l'ombre «(2007). A Hollywood, les acteurs français sont souvent cantonnés aux rôles de «méchants», en témoignent les prestations de Lambert Wilson dans «Matrix Reloaded», Gaspard Ulliel dans «Hannibal Lecter : les origines du mal», ou Mathieu Amalric dans «James Bond : Quantum of Solace». Meghan Trainor hospitalisée l Alors qu'elle enchaîne les tubes, la chanteuse américaine de 21 ans vient d'annoncer qu'elle annulait cinq dates de sa tournée nord-américaine. Et pour cause, Meghan Trainor vient tout juste de se faire opérer des cordes vocales. «A tous mes fans : j'ai beau avoir été soigneuse et pris toutes les précautions nécessaires, malgré tout j'ai encore fait une hémorragie des cordes vocales», a-t-elle écrit sur son compte Twitter précisant qu'elle allait mettre en pause sa tournée. L'interprète de Dear Futur Husband est donc passée sur le billard pour régler ce problème une fois pour toutes. Courageuse, la chanteuse n'a pas manqué de poster quelques photos tandis qu'elle séjournait à l'hôpital, afin de rassurer ses fans et les tenir au courant de son état de santé. Plus de peur que de mal pour la jolie blonde qui, avant son opération, se disait «dévastée, terrorisée et désolée» à l'idée de l'intervention qui approchait et de devoir mettre un terme à sa tournée. Guérie, il ne reste plus désormais à Meghan Trainor qu'à se reposer et reprendre des forces avant de revenir sur le devant de la scène plus forte que jamais. Ses fans l'attendent d'ores et déjà de pied ferme et n'ont pas manqué de lui témoigner toute leur affection sur les réseaux sociaux.