Chez le champion en titre, l'Entente de Sétif, rien ne va plus depuis le départ du manager Walid Sadi où les guerres intestines ont fait leur apparition au point de pousser le président Abdelhakim Serrar à déposer sa démission officiellement. Le «gâteau» étant devenu très grand et la cote du club sétifien ayant grimpé de façon vertigineuse, notamment après le sacre en Ligue des champions arabe des clubs, cela a attisé les gourmandises et les convoitises pour le leadership. La situation tendue à l'Entente a nécessité encore une fois l'intervention du wali en personne, Noureddine Bedaoui, qui a refusé catégoriquement la démission de Serrar, lui qui a énormément aidé le club phare des Hauts-Plateaux en lui débloquant à plusieurs reprises des sommes colossales afin qu'il puisse répondre à ses obligations nationales et internationales.