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Cela s'est passe un jour/ Aventures, drames et passions celebres
Massacre à l'université (8e partie)
Publié dans Info Soir le 12 - 02 - 2008

Résumé de la 7e partie n Les écrits de Cho, même violents et obscènes, n'étaient qu'une introduction à ce qui allait être son œuvre.
Il est sept heures quand Cho se lève dans la résidence du Harper-Hall où se trouve sa chambre. Il se met aussitôt à son bureau et écrit :
«J'en ai assez des gosses de riches et de la débauche qui règne dans cette université. L'heure de la revanche a sonné. Rien ne m'arrêtera !»
Puis il ouvre le tiroir de son bureau et tire les armes qu'il a achetées dernièrement, un pistolet Glock calibre 9 millimètres et un Walker P22, ainsi que les munitions acquises par internet.
Ainsi armé, il quitte sa résidence pour la résidence voisine, le West-Ambler où vivent 895 étudiants. Il est sept heures quinze. Cho monte en courant jusqu'au quatrième étage où il fait sa première rencontre. Deux étudiants le croisent – un garçon, Ryan Clark, et une fille, Emily Hilscher.
— Qu'est-ce qui se passe ?
Les deux étudiants s'arrêtent. Cho, les armes à la main, va droit devant lui.
— Il est fou !
Mais les deux étudiants n'ont pas eu le temps de fuir. Des détonations déchirent l'air matinal. Des étudiants, encore dans leurs chambres, sursautent. L'un d'entre eux dira même qu'il a entendu une trentaine de coups de feu ! Comme l'université venait de subir deux alertes à la bombe en quelques jours, on s'alarme. L'une des alertes visait surtout les classes d'ingénierie et l'université offrait 1 500 dollars à qui fournirait des renseignements sur les fauteurs de troubles. Des étudiants appellent aussitôt la police sur leur téléphone portable.
— Venez vite, l'affaire des bombes recommence.
On ne savait pas encore que c'était une autre affaire qui s'annonçait !
Tandis que Cho rejoint sa chambre, pour finir ce qu'on va appeler son «manifeste», la police arrive.
On encercle le bâtiment où le couple d'étudiants a été tué et on arrête un suspect.
— A plat ventre, sinon on tire !
L'homme se met à plat ventre. On contrôle son identité – il s'appelle Karl David Thombill – mais comme on découvre qu'il n'est pas l'assassin, on le relâche.
Cependant, dans sa chambre, Cho finit son manifeste contre les «gosses de riches», puis fait un colis contenant des vidéos où il revendique son acte.
«C'est moi, Cho, l'auteur du plus grand massacre de scholl Killers, le tueur d'écoliers…»
Puis, tranquillement, il se rend au bureau de poste le plus proche, à Main Street et remet son colis à un employé.
— A qui voulez-vous adresser ce colis ?
— A la télévision NBC, au Rockefeller Center, à New York.
— Cela fera tant…
Il paye. Mais quand, plus tard, on interrogera, l'employé ne se rappellera pas l'expéditeur.
— Il y avait beaucoup de monde, ce jour-là !
Son colis expédié, Cho retourne à l'université. (à suivre...)


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