Violent séisme au large de la Nouvelle-Calédonie Un violent séisme d'une magnitude de 7,1 sur l'échelle ouverte de Richter a secoué dimanche matin une zone située à l'est de la Nouvelle-Calédonie, territoire français du Pacifique sud, a annoncé l'observatoire de Hongkong. Le tremblement de terre a eu lieu hier samedi à 16h 34 GMT, a précisé l'observatoire. L'épicentre du séisme semble avoir été situé dans l'océan, à environ 340 km à l'est de Nouméa, la capitale de la Nouvelle-Calédonie. Une météorite rarissime découverte Une nouvelle météorite vraisemblablement martienne, qui pourrait permettre de mieux comprendre le volcanisme de cette planète, a été découverte par deux Français, Carine Bidaut et Bruno Fectay, qui l'ont annoncé hier samedi. Cette météorite, deux morceaux de 414 et 383 grammes trouvés en janvier et mars 2001 par les prospecteurs des deux Français dans l'Anti-Atlas (sud du Maroc), vient d'être étudiée par le Consortium Théodore Monod, groupe informel de chercheurs français qui travaille sur les météorites planétaires. Cette météorite SNC (shergottites, naklites, chassignite) est, selon les analyses, du type le plus rare. L'ex-président Chevardnadze a voté pour son ancien protégé L'ancien président géorgien Edouard Chevardnadze a voté ce dimanche pour Mikhaïl Saakachvili, son ancien protégé qui l'avait poussé à la démission fin novembre avant de se porter candidat à sa succession. M. Chevardnadze l'a dit aux journalistes après avoir voté dans la capitale géorgienne ce matin, près de la résidence gouvernementale de Krtsanissi où il vit depuis sa démission, tout en demandant à M. Saakachvili, dont la victoire est assurée, de «se mettre au travail». «Mikhaïl Saakachvili devrait travailler plus et parler moins. Assez de populisme, il est temps de se mettre au travail», a dit l'ancien président. M. Chevardnadze, 75 ans, avait dominé la vie politique géorgienne pendant trois décennies, mais son pouvoir a été érodé par la crise économique, la corruption et des fraudes électorales. Par ailleurs, il s'est interrogé devant la presse sur le taux de participation, qui doit atteindre 50% pour que le scrutin soit validé. «Il est difficile de dire ce qui va se passer et quel va être le résultat», a-t-il déclaré. «Si les gens vont voter en nombre suffisant, alors ce sera un bon résultat, sinon, je ne sais pas comment cela va finir.»