Ooredoo lance le payement sur le Net avec une carte CIB Ooredoo vient de lancer le eStorm, sa solution exclusive, gratuite et sécurisée d'achat de crédit téléphonique sur Internet avec une carte interbancaire (CIB). Dans le cadre d'un partenariat entre Ooredoo et la Société d'automatisation des transactions interbancaires et de monétique (Satim), les clients détenteurs d'une carte interbancaire (CIB) de toutes les banques activant en Algérie peuvent acheter en toute sécurité du crédit grâce à eStorm en quelques clics et à partir d'un montant de 200 DA, en se connectant sur le site Internet www.ooredoo.dz depuis un ordinateur, une tablette ou un smartphone, ou bien en se connectant directement et gratuitement sur le site www.estorm.ooredoo.dz. Le crédit acheté peut être utilisé pour les communications ou le payement des factures des lignes Ooredoo seulement. L'opération d'achat de crédit via eStorm est sans frais supplémentaires. Elle garantit la confidentialité des données bancaires du client et bénéficie du label de sécurité de la Satim. Intempéries : deux décès durant les dernières 24h Deux personnes sont décédées emportées par les eaux des oueds en crue, suite aux fortes chutes de pluies qui se sont abattues sur plusieurs wilayas du pays durant les dernières 24h. Il s'agit d'une personne âgée de 45 ans emportée par les eaux des oueds en crue dans la commune d'El-Kseur dans la wilaya de Béjaïa, et d'un enfant porté disparu, emporté par les eaux d'oued El-Guemas en crue dans la wilaya de Constantine. La personne âgée de 45 ans emportée par les eaux d'Oued Rechich a été repêchée par les éléments de la Protection civile dans la commune d'El-Kseur, alors que les opérations de recherche se poursuivent toujours pour retrouver l'enfant porté disparu à Constantine. Un débrayage à la «Messagerie Express» de Bab El Oued La non distribution hier des journaux vers des institutions étatiques est due au débrayage entamé par les employés de l'entreprise «Messagerie Express» de Bab El Oued (Alger), une filiale de l'Agence nationale d'édition et de publicité (Anep) chargée de cette mission. L'ensemble des grévistes dénoncent les conditions «insupportables» de travail et déplorent «l'humiliation quotidienne, la mauvaise gestion, l'injustice et l'exploitation», ce qui les a menés, par conséquent, à revendiquer le départ du directeur général de cette filiale, créée en 2000. Ils ont précisé que la section syndicale de l'entreprise «a été gelée», notant qu'ils ne se sentaient pas représentés par ce syndicat même s'il était encore en activité. Deux représentants des travailleurs en grève ont été reçus par le P-dg de l'Anep pour présenter leurs revendications et discuter dans la perspective d'aboutir à une solution à cette situation qui a privé plusieurs institutions étatiques des titres de la presse du dimanche, a-t-on appris de la part de l'un d'eux qui a affirmé que la rencontre était «vaine». Pour sa part, la directrice de la région centre, Mme Ouidice a qualifié ce débrayage d' «illégal» car «les travailleurs l'ont entamé sans un préavis», précisant que les grévistes «refusent» de négocier avec elle et «demandent à voir le P-dg de l'Anep».