Un niveau faible de vitamine D pourrait aggraver l'asthme Un niveau faible de vitamine D pourrait aggraver l'asthme et freiner la réaction au traitement aux stéroïdes, révèlent les résultats d'une nouvelle étude rendue publique aux Etats-Unis. Cette étude, publiée dans le numéro de janvier de l'American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine, conclut que les personnes présentant un niveau faible de vitamine D dans le sang obtiennent les résultats les plus mauvais aux tests des voies respiratoires et d'hyperréactivité bronchique. Pour aboutir à ces conclusions, un groupe de chercheurs du National Jewish Health (NJH) de Denver a examiné les niveaux de vitamine D de 54 asthmatiques ainsi que leur fonction respiratoire, l'hyperréactivité de leurs bronches et leur réponse au traitement aux stéroïdes. Toutefois, les chercheurs ignorent encore si des compléments de vitamine D permettront de soigner l'asthme. Alzheimer et démences : une nouvelle piste de recherche thérapeutique Une nouvelle piste de recherche dans la lutte contre la maladie d'Alzheimer et les démences, mise à jour par l'équipe du professeur Etienne-Emile Baulieu, de l'Inserm, pourrait déboucher sur de nouvelles cibles thérapeutiques pour combattre la maladie d'Alzheimer et d'autres formes de démences. Les travaux des chercheurs de l'Institut national français de la santé et de la recherche médicale viennent d'être publiés en ligne dans les comptes rendus de l'académie des sciences américaines, les PNAS. Les chercheurs viennent de montrer l'interaction entre deux protéines présentes dans le cerveau, la «FKBP52» et la protéine Tau dont les anomalies interviennent dans le mécanisme de nombreuses pathologies neurodégénératives et démences, dont la maladie d'Alzheimer. Les amas de la protéine Tau anormale ainsi que des «plaques» (dépôts) dites «amyloïdes» dans le cerveau sont des marques de la maladie d'Alzheimer. Deux tiers des mères allaitent leurs enfants pendant plus de six mois en Algérie Deux tiers des mères allaitent leurs enfants d'une manière exclusive en Algérie au cours des six premiers mois de vie et plus, selon une enquête nationale sur l'allaitement maternelle. L'enquête, menée en 2009 par l'Institut national de santé public (INSP) en partenariat avec l'Unicef et dont les résultats préliminaires ont été rendus publics à Alger, a concerné deux populations : les ménages et les professionnels de santé. Ainsi, il a été relevé que la durée de l'allaitement maternel exclusif est inférieure à un mois, dans la moitié des cas, tandis que la fréquence de cet allaitement est estimé à 25,8% à 4 mois et à