Rentrée hier à l'Université des sciences islamiques Près de 3 800 étudiants ont rejoint hier les bancs de l'université Emir Abdelkader. Un chiffre jamais égalé depuis l'inauguration de cette université de l'Est en 1984. Il est à savoir qu'à l'instar des autres facultés quant aux systèmes adoptés pour le cursus, cette université pratique le système LMD qui couvre 76% des filières. Par ailleurs, on apprend que d'autres spécialités vont être introduites pour l'année en cours. Aussi, l'ouverture officielle de ce campus a coïncidé avec des dons en livres religieux attribués par trois familles, un geste plus qu'honorable qui étoffera la bibliothèque de l'université Emir Abdelkader. Les opérateurs de la téléphonie «assaillis» Les deux principaux opérateurs de la téléphonie activant à Constantine n'ont pu contenir la masse de leurs clients respectifs. Le mouvement des piétons, qui tentent difficilement de se frayer un chemin de montée ou de descente au boulevard Belouizdad (ex-Saint-Jean) lieu d'implantation de la principale succursale de Djezzy, est considérablement gêné. De fait, à côté des files interminables des abonnés, des groupuscules de jeunes chômeurs sollicitent les passants en vue de les doter d'imprimés de contrat «payants» bien évidemment et leur éviter de longues attentes. La date butoir de la destruction des puces non identifiées a contraint également des centaines de personnes aux lignes Nedjma à former une grande cohue aux portails de cet opérateur au niveau de la montée des «S».Jamais cette agence n'aura connu une telle affluence même avec de ses multiples bonus. La plupart des clients présents sur ces lieux cherchent à s'approprier un contrat légal avant la date limite du 10 du mois en cours. Place Khemisti, une pollution en sourdine Pour les besoins des travaux du tramway, beaucoup de sacrifices ont été faits afin de permettre aux Italiens d'œuvrer sans entrave. Même la direction de l'environnement s'est pliée à ces besoins qu'elle qualifie d'exceptionnels. Le nouveau plan de circulation élaboré selon les sites disponibles que recèle la cité, a créé la confusion sur la place Khemisti. Ce qui est grave pour les écoles avoisinantes. L'exemple édifiant est celui de l'école primaire mitoyenne. De plus, la sortie des bus de leur parking se fait d'une façon dangereuse… «On n'a pas d'autre alternative», c'est la réponse donnée à chaque fois par les autorités locales.