Les étudiants demandent une amélioration du transport universitaire à Khemis Miliana Le centre universitaire de Khemis Miliana, qui se développe rapidement ces dernières années suite à la réalisation de nouvelles structures et aux efforts fournis par la direction, connaît des difficultés importantes en ce qui concerne le transport des étudiants. Il est doté de 4 lignes de transport qui le relient au territoire de cette wilaya. Le nombre de bus en service pour l'instant est insuffisant pour répondre aux besoins de plus de 10 000 étudiants, dont 203 étrangers (166 garçons et 37 filles) issus de 17 pays africains. L'Office des œuvres universitaires, dans son rapport présenté durant la dernière session de l'Assemblée populaire de wilaya (APW), avait fait état d'un besoin en bus au nombre de 5 pour remédier à cette situation. Pour cette année, la mise en œuvre du plan de transport nécessiterait 10 nouveaux bus. En attendant que la direction générale réponde favorablement à cette demande, les étudiants continue à souffrir quotidiennement du transport, ce qui se répercute négativement sur leurs études. Le transport urbain opérationnel à Aïn Defla, Khemis Miliana et El Attaf Les autorités locales ont relancé le transport public dans le chef-lieu de la wilaya de Aïn Defla. Celui-ci, inauguré le 5 juillet dernier, a cessé quelque temps après ses navettes à travers les quartiers de Aïn Defla. Les arrêts réalisés un peu partout dans le tissu urbain ne sont pas tous implantés dans des endroits stratégiques puisque, à titre d'exemple, la polyclinique située à la sortie ouest de la ville en est dépourvue. Ce mode de transport a été mis en service aussi dans les villes de Khemis Miliana et d'El Attaf, connues pour leur nombre élevé d'habitants. Les autorités locales ont promis dans ce cadre de renforcer le parc en cas de nécessité. Le jardin situé près de la polyclinique retrouve sa vocation La place située près de l'ancienne polyclinique du chef-lieu de la wilaya de Aïn Defla, dépourvue de couvert végétal, observe ces derniers jours une opération d'aménagement après la démolition des kiosques, ce qui lui donnerait un visage plus agréable. Il est à rappeler que ce lieu était auparavant un jardin public. Ainsi, les autorités ont décidé de lui rendre sa vocation initiale. L'entrée est de Aïn Defla bien aménagée L'entrée est du chef-lieu de la wilaya de Aïn Defla vient de se doter d'une trémie, ce qui lui donne un meilleur aspect et agrémente le paysage. Cette trémie, opérationnelle depuis peu, a subi des travaux au niveau de l'échangeur qui compte un superbe espace vert. Plus en avant, le visiteur peut désormais remarquer l'aménagement de l'ancienne carrière qui offre un cachet particulier à cette entrée. Les routes du chef-lieu de la wilaya saturées Les routes du chef-lieu de la wilaya de Aïn Defla étouffent en raison de l'augmentation du parc roulant. Le manque de fluidité de la circulation est visible durant toute la journée au point que l'on se demande si les citoyens travaillent. Cette mobilité, exagérée, doit être étudiée par les spécialistes du transport pour trouver les raisons de ces déplacements fréquents dont les conséquences sont souvent néfastes pour le citoyen. Le centre équestre est bien entretenu Le centre équestre de la ville connaît depuis son aménagement une activité particulière. Il est devenu l'endroit idéal pour les familles à la recherche de la détente et de bons moments loin du vacarme de la ville. Des aires de jeu pour enfants sont placées à l'intérieur du centre. Elles drainent chaque fin de semaine des flux d'enfants à la recherche de loisirs. Des tournois d'équitation à caractère national y sont organisés, créant ainsi une ambiance particulière. Cependant, il manque des tribunes dans les parties nord et sud. Notons que l'implantation d'une cafétéria a permis d'animer ce centre qui a repris enfin la vocation qu'il a perdue depuis de nombreuses années ; même des chevaux de course sont morts à cause de la famine et d'une mauvaise prise en charge. Aïn Defla attend son marché couvert de fruits et légumes A Aïn Defla, il n'existe pas de marché quotidien de fruits et légumes. Des vendeurs à la sauvette ont pris l'habitude d'écouler leurs marchandises dans différents endroits de la ville. Cette situation a défiguré le tissu urbain. Le marché couvert réalisé il y a quelque temps compte actuellement peu de vendeurs de fruits et les légumes, les autres locataires ayant versé dans la vente des vêtements et produits électroménagers. En attendant la réalisation d'un marché couvert au chef-lieu de la wilaya, le citoyen éprouve d'énormes difficultés pour s'approvisionner.