Il ne reste que la lettre de libération Le président de la JSK, Mohand Cherif Hannachi, a passé toute la journée d'hier à Kouba. C'est un quartier qu'il connaît très bien puisque, depuis son jeune âge, il y vient souvent et y est connu, surtout que son grand frère y habite. Outre une petite promenade dans les rues de la ville au cours de laquelle beaucoup de gens l'ont reconnu et lui ont serré la main, il a rencontré le joueur du RCK, Sid-Ali Yahia-Cherif, qu'il aimerait ramener à la JSK la saison prochaine. Il a arraché l'accord de principe du joueur, mais ce dernier lui a précisé, comme il l'a fait avec tous les présidents qui l'ont sollicité, qu'il est encore lié au RCK et que ce n'était pas évident que son club le laisse partir, même s'il renonçait à son dû. Ce que Hannachi a fait que ses confrères n'ont pas fait, c'est qu'il a pris rendez-vous dans la foulée avec Merzag Touchi, président par intérim du RCK, afin de négocier avec lui la lettre de libération de Yahia-Cherif. Les deux hommes devaient dîner ensemble hier soir pour discuter de la question.