La Fédération internationale de football (FIFA) a désigné l'arbitre botswanais Joshua Bondo pour diriger le match aller du dernier tour des barrages des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022, qui mettra aux prises l'équipe nationale avec le Cameroun au stade Japoma de Douala le 25 mars. Une désignation qui suscite l'interrogation Et l'appréhension des algériens sachant qu'il s'agit de cet même arbitre qui avait massacré les Verts lors du match aller de la phase des groupes joué à Marrakech face au Burkina Faso, le mois de septembre dernier. Bondo avait pour rappel, fermé les yeux sur plusieurs agressions sur les joueurs algériens, se permettant même de ne pas siffler un pénalty flagrant sur une faute plus qu'évidente commise sur Riyad Mahrez en fin de rencontre soldée pour rappel, sur une score de parité d'un but partout. Pire encore, après s'être abstenu d'intervenir sur une agression caractérisée subie par Ramy Bensebaini, l'arbitre botswanais n'a aussi pas branché sur cette action où le joueur de l'EN Ramiz Zerrouki avait été giflé et malmené par un joueur burkinabais devant ses yeux alors que l'expulsion s'imposait. Sans parler de son arbitrage vicieux et provocateur qui a fini par énerver les joueurs algériens selon ce qu'on a pu voit sur le terrain. Les joueurs de l'EN sont avertis et les instances internationales compétentes doivent être interpelléEs pour mettre en garde cet arbitre et surtout déjouer une quelconque mission qui vise à détruire l'Algérie dans cette double confrontation face au Cameroun, décisive pour une place au Mondial 2022 .