Des sanctions clémentes envers Pepe et Co… La loi du silence qu'a imposée le Real Madrid fait couler beaucoup d'encre. De nouvelles rumeurs courent dans la presse espagnole. Selon Marca, José Mourinho aurait permis à ses joueurs de réagir suite au match nul face à Villarreal, mais avec quelques directives. «Celui qui veut parler peut parler, mais vous devrez insister sur le fait que Paradas nous a porté préjudice et nous a fait perdre deux points.» Mais personne n'a réagit. Les joueurs ont fait bloc et n'ont pas voulu amplifier une polémique déjà bien lancée. D'ailleurs, selon le même quotidien, une conversation entre les capitaines que sont Iker Casillas et Sergio Ramos, ainsi que Cristiano Ronaldo, Pepe et Gonzalo Higuaín a été dévoilée. «Vous ne pouvez pas recommencer à vous plaindre des arbitres. Car c'est vous qui serez les perdants dans cette histoire et c'est le nom de l'équipe qui sera sali.» Polémiques et divergences entre footballeurs et entraîneur qui auraient mené l'effectif à faire une réunion sans Mourinho avant l'entraînement le lendemain. Des sanctions clémentes envers Pepe et Co… La Commission de discipline de la Fédération espagnole de football n'a pas eu la main lourde avec le Real Madrid vendredi. Après avoir insulté M. Parada Moreno, l'arbitre de Villarreal-Real Madrid (1-1), de «sacré voleur» et tutti quanti, Pepe n'a récolté «que» deux matches de suspension, lui qui risquait une sanction bien plus sévère, alors que Mesut Özil s'est vu infliger un match de suspension. Rappelons que le rugueux défenseur portugais n'avait pas eu maille à partir avec la justice sportive espagnole après avoir écrasé la main de Lionel Messi en Coupe du Roi. L'arbitre du match, M. Paradas Romero, a également été déjugé par sa fédération. Les instances du football ibérique considèrent en effet que le premier carton jaune reçu par Sergio Ramos n'était pas justifié et annulent donc la suspension du défenseur madrilène. Du côté du banc, José Mourinho ne prend qu'un match de suspension, son assistant Rui Faria deux….Les Merengue peuvent souffler, ils ont échappé au pire...