La direction a interdit les interviews aux médias ! Le triste match nul, de samedi passé, a bien mijoté dans la tête du coach du CSC, Diego Garzitto. Ce dernier, qui voulait commencer l'aventure par une victoire, a vu son souhait s'évaporer après les 90' réglementaires. Cela n'inquiète pas outre mesure le staff technique pour le moment. Car le plus important ce sont les matches à venir. En outre, le CSC a déjà récolté son premier point de la saison, ce qui reste tout de même positif à signaler. Le prochain week-end, l'équipe se déplacera à Alger pour affronter l'USMH. Un match qui s'annonce déjà intéressant, vu que les deux clubs ont raté leur première sortie. Garzitto espère juste faire le déplacement avec un effectif étoffé et au grand complet. On fait allusion au retour de Hourri et Benattia en plus de Sebbah et Naït Yahia qui sont toujours souffrants. Une partie du public veut Dahmen Les choses semblent aller dans le sens que veut Mohamed Dahmen. Ce dernier, qui se trouve à Constantine depuis quelques jours, a assisté des tribunes à la première rencontre du CSC. Sa présence a été constatée par le public qui n'a pas arrêté de scander son nom, une manière de passer un message codé pour le staff technique pour qu'il accepte le joueur, surtout avec la sécheresse offensive qui a frappé les Vert et Noir, samedi passé. En tout cas, le joueur continue de s'entraîner en solo à Constantine et on ne sait toujours pas comment sera traité son cas. Garzitto dit toujours non Le coach en chef du CSC sait très bien ce qu'il fait. Il n'est pas né de la dernière pluie comme on dit. La direction sait cela et fait confiance à Garzitto. Ce dernier à sa propre vision des choses et pense que Henaïni et Boulemdaïs sont suffisants pour former l'attaque de son équipe. Ce qui n'arrange pas Mohamed Dahmen, qui tient encore au maigre espoir de signer au CSC. Malgré la pression du public et de quelques personnes, on imagine mal Garzitto changer d'avis concernant la venue de Dahmen, surtout que le Jurassien a précédemment déclaré à un journal spécialisé qu'il quittera le CSC, si on lui impose Dahmen. -------------------- La piste du Golfe pour Bezzaz Ça sent les dollars à plein nez pour l'ex-international Yacine Bezzaz. Ce dernier est en contact très avancé avec un club émirati. Ce dernier tient à l'enfant de Grarem. Le départ du joueur est une affaire de quelques jours. Le reprise hier soir Une journée de repos a été accordée aux joueurs et ce, après une séance de décrassage après le match de samedi. La reprise des entraînements s'est effectuée hier au stade réplique de Hamlaoui. La direction a interdit les interviews aux médias ! Dans une décision assez étonnante et étrange, la direction s'est réunie avec les joueurs, jeudi passé, avant le match face au CABBA. Le but de cette réunion surprise était de donner une consigne bien précise pour les coéquipiers de Bezzaz, laquelle concerne les déclarations à la presse. En effet, la direction a interdit aux joueurs de faire des interviews ou déclarations dans les journaux. Le but de cette nouvelle consigne est peut-être de pousser les joueurs à se concentrer uniquement sur les entraînements. Il n'y a pas d'autres raisons, surtout qu'on est en début de saison et les dirigeants doivent savoir que les matches ne se jouent pas dans la presse. De quelle modèle s'inspire Ferssadou and Co ? Ce genre de décision étrange, on a l'habitude de le voir dans notre championnat. On sait déjà que certains dirigeants de nos clubs ont l'esprit bien tordu et qu'ils dérapent de temps en temps. La nouveauté est que ce genre de décisions se prend en fin de saison, à l'approche des matches décisifs, mais jamais au début du parcours. Pourquoi priver les joueurs du CSC des médias ? Cela va priver les milliers de fans de lire les déclarations et surtout les promesses des stars de leur équipe favorite, en ce début de saison. Bref, cette interdiction de parler aux médias est traduite par : «Tu l'ouvriras quand je te le dirais». Ce qui est déjà un mauvais présage pour la suite. Elle compte frapper aux poches des joueurs Dorénavant, les joueurs du CSC n'ont plus le droit à l'erreur, sur le papier ou sur le terrain. En plus de l'interdiction de parler à la presse, les coéquipiers de Derrag n'ont pas le droit de perdre des matches à domicile. Ces derniers sont bien prévenus et doivent faire très attention lors des futurs matches à domicile. Car la direction de Ferssadou compte bien sanctionner les joueurs à chaque défaite à Hamlaoui. Une nouvelle manière de procéder par la direction. Par contre, il y aura des primes conséquentes en cas de victoire. D'après nos informations, une victoire à domicile est synonyme de 5 millions, une autre à l'extérieur signifie 10 millions. ---------------- Maïza n'a rien retenu de ses aventures du passé Il y a des joueurs qui restent les mêmes dans leur état brut et qui n'apprennent rien malgré leur longue et riche expérience dans le football. Cela exaspère le simple spectateur algérien qui veut voir un peu de sportivité et de civisme de la part de nos joueurs pour le bien de notre football. Prenons l'exemple d'Adel Maïza, samedi passé lors de sa sortie du terrain, le joueur a fait exprès de ne pas saluer son remplaçant Boulahia, entré à la 60' de jeu. Ce comportement déplacé et regrettable n'était pas de mise ce jour-là et mettre cela sur le dos de la colère ou la déception est refusé d'avance. Enfin le joueur est connu pour son tempérament assez bizarre et malgré les années il garde encore ses vieux défauts. En sus, la production du joueur n'était pas exceptionnelle. Maïza mérite bien une sanction sévère de la direction et bien sûr tout au moins le banc des remplaçants actuellement. Boulhabib a savonné les joueurs après le match Le résultat de nul, enregistré samedi passé, n'a pas énervé que les fans. Les dirigeants aussi étaient très déçus après le coup de sifflet final d'Amalou. D'après une source généralement bien informée, Boulhabib était hors de lui après la rencontre. Ce dernier a savonné ses joueurs, accompagné de Garzitto. Ce dernier a essayé de remonter le moral de ses troupes. Une chose est sûre, l'ambiance était électrique.