Vokash Dhorrasso (ex-international) «Il serait préférable de ne pas croiser l'Algérie» L'émission «Mots croisés» diffusée sur la chaîne française France 2 et animée par Yves Calvi a abordé avec le concours d'un plateau de journalistes et autres spécialistes sportifs la qualification des Verts en Afrique du Sud et, le sujet presque de cette édition, la possibilité de voir la France nez à nez avec l'Algérie au premier tour du Mondial sud-africain. Des invités de prestige sont intervenus à tour de rôle. On gardera de ce numéro les déclarations les plus marquantes et les plus significatives aussi en ce qui concerne cette appréhension qui commence à s'installer dans l'autre rive de la Méditerranée à propos d'une explication Verts-Bleus dès l'entame de cette compétition. Yves Calvi : «C'est inconcevable qu'un match de foot en arrive à déteindre sur le politique» Pour l'animateur de l'émission, Yves Calvi, il est inconcevable qu'un match de football, de quelque enjeu qu'il soit, déborde le rectangle vert et se transforme en toile de fond d'une crise diplomatique. «Il est inconcevable qu'un match de foot devienne un problème politique. Ça ne doit jamais dépasser le terrain comme c'est le cas actuellement le dernier Algérie-Egypte et France Iralnde et cette fameuse main de Thierry Henry», a-t-il déclaré en premier. Eugène Saccomano : «Je crains qu'on n'en vienne à jouer l'Algérie au Mondial» Pour le très célèbre journaliste français, Eugène Saccomano, il serait préférable que la France n'hérite pas de l'Algérie lors du tirage au sort de la Coupe du monde. «Je crains cette éventualité de voir les nôtres jouer l'Algérie lors du Mondial. La qualification arrachée au Soudan et la façon avec laquelle les Algériens ont exprimé leur joie à travers le monde est à méditer. Leurs joueurs sont motivés et prêts à affronter n'importe quelle équipe», a-t-il dit en substance. Vokash Dhorrasso (ex-international) «Il serait préférable de ne pas croiser l'Algérie» Le très controversé ex-international français et ex-joueur du PSG, Vikash Dhorrasso, qui s'est fait beaucoup d'ennemis au sein des Bleus vice-champions du monde en 2006, a abondé dans le même sens. «Il serait préférable, à mon avis, de ne pas hériter de l'Algérie au moment du tirage au sort de cette Coupe du monde et être appelés ainsi à affronter une sélection (qui revient) en force.»