Par B. Chellali En réponse aux nouvelles exigences de la société algérienne, "un catalogue" de mécanismes fondamentalement juste reposant sur une volonté politique déterminée et d'instruments techniques, est mis en évidence. Il vise plus de certitude pour renforcer le socle socioéconomique et dont les perspectives seront plus accentuées au titre du prochain plan quinquennal 2010/14. Dans un tel climat, le programme présidentiel continue de développer la complémentarisme et les réponses aux besoins des populations et des territoires, d'optimiser les moyens et d'améliorer la cohérence des investissements publics et la satisfaction des indicateurs sociaux. Le progrès social, la rationalité économique deviennent dès lors une nécessité, un "aliment" dans ce vaste processus de changement garantit la destination et l'amélioration afin de ne pas perdre le contact avec les réalités et les préoccupations du jour. Soucieux de concilier efficacité permanente et qualité de vie, le programme présidentiel fait appel à la mobilisation des ressources humaines et au management, initialement, l'objectif devrait permettre de dynamiser de réels axes de travail pour un véritable cadre d'accompagnement pour faire face aux changements liés aux évolutions économique, sociale, technologique et organisationnelle. Ce processus est en marche et aboutira pour constituer un nouvel élan de bouleversement dont d'aucuns ne sauraient lier la portée, sans pour autant s'illusionner. Pratiquement, cela équivaut à un objectif qui, on le comprend fort bien, s'insère dans une politique prépondérante qui s'opère sur un "écran" qui représente, la puissance de l'intérêt général. Un fait accompli par les pouvoirs public et qui confirme avec éclat l'habilité du "mariage" de la sphère sociale et économique. Des réponses opérationnelles en lien permanent avec les questions qui se posent au quotidien à la population. Mais il n'est pire sourd que celui qui ne veut entendre.La rentrée sociale et politique va être marquée par une grande activité, où les problèmes " vitaux " viennent au premier rang des préoccupations de l'Exécutif. On comprend bien que la prise en charge des problèmes des citoyens est une préoccupation trop sérieuse, impliquant tous les responsables et la société civile. Il reste à espérer que tout le monde s'engage dans cette voie pour assurer les meilleures rendements socioéconomiques. C'est à partir de cet engagement que pourrait venir l'assurance d'un avenir prospère. Raison de plus pour garantir au pays à faire entendre sa voix économique.