Dans un monde où l'on mesure tout, où l'on conditionne tout, où l'on exige tout, l'Etat algérien l'a compris et a fait sienne ces nouvelles préoccupations mondiales. En optant pour des "outils" qui rendent au peuple sa véritable place dans la vie nationale, il est toujours question de "calcul" qui règne essentiellement autour de la planification rentable et qui offre aux populations les acquis et les services dont elles ont besoin. Dans cet esprit, c'est tout le mécanisme de recherche pour l'aisance du citoyen qui est mis en évidence et qui règne en maître absolu dans la prise de mesures et de nouvelles dispositions annoncées pour être exécutées durant la période 2010/14 et pour faire rebondir l'intérêt de la Nation et d'une compétitivité économique conforme aux enjeux et aux exigences de la conjoncture internationale. Il s'agit de rendre le pays plus performant sur tous les fronts, tout en lui conservant les qualités et les quantités spécifiques de ses ressources naturelles et son allant économique. Aussi, les actes au titre du programme politique en vigueur se renforcent à l'épreuve des faits pour constituer l'ossature d'une économie viable mise sur pied pour la durabilité en dehors du secteur des hydrocarbures. Ces certitudes "défensives" contre le sous-développement ne manquent pas de rapidité, causent bien des satisfactions au sein de la société et contribuent ainsi à cette sorte d'auto-équilibre de la société qui allie la volonté de l'offensive économique à la correction sociale. De façon extraordinaire, cette option nouvelle a permis dans son ensemble de conclure des initiatives favorables. Question de confiance, encore une fois. Au sein des régions la " construction " est roi, l'Etat dépense avec régularité pour couvrir et servir les besoins des citoyens. La détermination est présente autant que le souci constructif.