Les projets dits durables et appropriés proposés à la concrétisation par le programme quinquennal, représentent comme toujours une réponse à tous les problèmes et s'inscrivent dans une démarche de développement planifié, en rapport avec des impacts sur les valeurs participatives au changement par lequel est construit et se maintient une dynamique davantage rentable. Ce à quoi la modernité véhiculée ces dernières années est reliée à la façon de se définir vis-à-vis de la mondialisation et pour que le pays établisse automatiquement une hiérarchie de développement avantageux pour les populations. Les dispositions issues d'une composition de la réalité sociale de l'Algérien, produisent des pratiques contribuant au développement qui accorde un " statut " particulier à la capacité de produire en termes matériels des aspects destinés à la société. Cette nouvelle valeur accordée à l'égalité de tous sur tous les plans s'est toujours fait accompagner d'un " changement " dans la base du respect fondé sur les normes de productivité plus rationnelles. Il apparaît finalement que le discours économique, l'adoption intégrale d'une plateforme de développement, misent beaucoup sur l'effort à intégrer la société algérienne dans une économie assurée et mise en œuvre dans un cadre durable, relayé à tous les échelons par la bonne façon définissant l'importance et la place de chaque individu au sein de la société. Cette cause hautement significative soutenue par les moyens de l'Etat est en train d'acquérir un autre statut de vérité, un exemple de la solidité d'une politique structurée par et provenant d'engagements dominants qui transforment chaque jour le vécu quotidien des populations, les effets positifs sur le plan économique et social. Deux secteurs qui sont en phase de structurer tout " champ " de possibilités de richesses et une dynamique qui prend forme d'un programme politique assez solide.