La mise en œuvre du plan d'action pour la lutte contre le chômage et la promotion de l'emploi, constitue la clé de voûte de la stratégie de développement du gouvernement. Elle s'inscrit dans le cadre des orientations du chef de l'Etat pour la période 2010/2014, qui vise à combattre le chômage et à améliorer les conditions de vie des populations à travers le renforcement du processus de la vie sociale, afin de garantir et de parvenir à une croissance économique soutenue qui favorise la création d'emplois et l'augmentation des revenus, valoriser les ressources humaines pour augmenter la productivité. Ces grandes lignes définies par le chef de l'Etat sont désormais connues comme un "canevas" devant servir de support à la régression du phénomène du chômage et comme une " passerelle " entre les objectifs d'amélioration des revenus et les besoins en matière de main-d'œuvre. Une nouvelle forme qui prépare le terrain en ce qu'il doit amener les pouvoirs publics à remplir les critères au titre de l'offre d'emplois. Dans la décision de créer 3 millions d'emplois durant le présent quinquennat, c'est un autre point d'achèvement de la prise en charge de l'insertion des jeunes et où peut s'exercer tant d'opportunités tendant à influer sur la réduction du taux de chômage et la promotion de l'emploi pouvant être admis comme des outils au bénéfice de l'amélioration des revenus et des conditions de vie assortie de faveur en direction de l'insertion des jeunes dans les différents dispositifs de prise en charge professionnelle. Le descriptif des principaux éléments de cette politique, indique clairement la liaison existant entre les stratégies macroéconomiques préconisées et les réalisations des objectifs fixés en matière de développement social pour affecter les ressources "libérées" dans cette direction. La capacité à mobiliser suffisamment de ressources pour la création d'emplois est un sujet de préoccupation croissant et un pilier essentiel de cette base de croissance et de réduction du nombre de sans-travail et sans revenu stable. A ce sujet, l'économie privée est considérée part le programme présidentiel comme un "véhicule" pour la création d'emplois et la poursuite de la croissance. Cela dit, les entreprises du secteur public et privé devraient dans cette bataille gagner en efficacité et étendre leurs capacités en tenant compte de la compétence stratégique de l'Etat qui continue à améliorer et encourager le développement économique et social avec la contribution de ces deux secteurs, contribuant du même coup à la promotion de l'économie nationale. On estime que la mise en chantier du programme quinquennal 2010/2014 est profitable à l'économie de chaque région tant il y a de très grandes possibilités offertes à l'attrait de nouveaux investissements publics et privés. L'essor à produire va "effleurer" le grand nombre d'activités et de conditions cadres profitables pour la question non résolue en matière d'emploi et de perspectives de croissance. L'éventail des mesures annoncées par le chef de l'Etat en matière de prestations relatives aux efforts à déployer en matière de mise en adéquation du produit de la formation avec les besoins du marché du travail sont à mettre en évidence de manière à pouvoir disposer d'une main-d'œuvre qualifiée maîtrisant les technologies les plus récentes et répondant aux exigences de qualité et de performance qu'impose un environnement caractérisé par la concurrence et la compétition. De veiller, notamment à l'insertion systématique des clauses de formation de la main-d'œuvre qualifiée dans le cadre des contrats de réalisation des grands projets confiés aux grandes entreprises étrangères, afin de faire bénéficier les cadres et les travailleurs du savoir-faire et de la maîtrise de la technologie. Toutes ces orientations sont fonction d'une base de productivité assortie d'une croissance de l'emploi et de l'amélioration des conditions de revenus. L'appui à ces décisions pour maintenir le cap des réformes sociales est un facteur fondamental afin d'analyser avec lucidité les défis qui se présentent et notamment d'investir dans les secteurs clés en rapport avec le tracé du programme de redressement économique visant à accaparer des ressources nouvelles logiquement consacrées aux dépenses essentielles en matière d'investissement productifs créateurs de richesses et d'emplois. Une stratégie axée sur une forte croissance pour générer plus et réduire les inégalités sociales et économiques. Cette stratégie va se poursuivre avec beaucoup de visibilité et de garantie au titre du programme quinquennal en vigueur diversifiant davantage cette approche. Une vision des plus stratégiques définie par le chef de l'Etat pour assurer la transformation du pays et de la société. Cette orientation consacrée pour la mise en œuvre du plan d'action pour la lutte contre le chômage et la promotion de l'emploi, exige de fait un suivi "particulier" à tous les niveaux. Une condition vitale pour parvenir à une croissance économique durable, mais surtout à lancer l'offensive dans le domaine de la formation et de la technologie afin d'accroître la productivité, source d'élargissement des effectifs de travailleurs. Les performances enregistrées dans ce cadre montrent qu'il y a possibilité d'améliorer cette efficacité en veillant à être à jour avec les priorités du pays et de la société, à renforcer les systèmes d'insertion et les mécanismes de responsabilisation afin d'assurer la prise en charge des réformes en question et leur viabilité. Il s'agit donc d'une contribution de chacun des intervenants et des acteurs pour parvenir à concilier ces impératifs et atteindre pleinement les objectifs de développement et de plein emploi.