La recherche de valeurs ajoutées et de bases de la productivité sont un acte de grande intention qui se focalise sur les considérations du contexte actuel avec comme objectif déclaré, de renforcer la croissance et les capacités économiques du pays. L'introduction de ces nouvelles formes de promotion élaborées dans le cadre d'un processus participatif et d'actions pratiques en matière de " recueil " d'indicateurs voulus sur les grands secteurs d'intervention économique et sociale, constitue l'autre préoccupation des pouvoirs publics. Eu égard à l'ensemble des réformes engagées dans ce sens, les mesures prises à conditionner l'économie nationale à une grande échelle de performance et de diversification, sont, aujourd'hui, réalistes. L'aboutissement de la stabilité à ce sujet est mené à part entière par l'Etat dans le cadre d'affectation de nouvelles ressources. Une mesure visant à déterminer la meilleure manière de combiner les apports à ces valeurs ajoutées intégrées à une " entreprise " bien ciblée en ce qui concerne la mobilisation des données, des opportunités et des compétences techniques nécessaires pour établir ces revenus à part entière. Un expédiant financier et économique permettant d'amener un aussi grand nombre de critères d'investissement parfaitement adaptés. La volonté politique paraît à ce propos puissante à résorber tous les écarts économiques, la série de mesures tendant à la résorption des déséquilibres globaux en est la meilleure preuve. L'onde de choc des directives présidentielles se propage : un accent particulier est mis sur le développement et la modernisation de l'économie. L'incitation à la recherche de nouvelles ressources est appliquée avec une pugnacité exceptionnelle par les pouvoirs publics. L'effet politique de cette relance est, désormais, omniprésent sur la scène économique nationale. Un effet prégnant qui confère des assurances prévues par le programme présidentiel. A cet égard, les dispositions économiques et sociales mises en vigueur sont révélatrices et intimement intégrales en ce qui concerne les priorités qu'elles placent à l'ordre du jour. Les interventions du chef de l'Etat à l'issue de réunions restreintes consacrées à l'évaluation de chaque département ministériel, font dresser " l'estrade " d'où l'Exécutif donnera radicalement un " nouveau " départ à son action économique et sociale et pour transformer, en priorité, les besoins de base et l'amélioration des conditions de vie des populations. L'effet de cette activité gouvernementale devrait susciter une sorte de dynamique forte et une acceptation sociale. Sa traduction politique est plus que jamais visible sur le terrain, objective et positive, tant il y a des réponses aux questions qui sont au centre des préoccupations de la société. Le parcours ascendant de développement précipite le pays dans une performance sensiblement ajustée et dans un cheminement de succès. La conviction d'y arriver n'est pas sans raisons. Et l'horizon pointe une attente cohérente de support à l'économie. Cette présence de perspectives contribue à nourrir l'espoir d'atteindre la " destination " finale fixée par l'œuvre du président Abdelaziz Bouteflika. Cela paraît en définitive possible, le désir et la conviction sont toujours présents. Ce solide " politique " est vraiment établi. Celui-ci entend consolider ce qui a été entrepris et entend le dévouer au champ de la cohésion sociale à laquelle est joint en ordre le mouvement d'une économie stimulée et régulée. Attirer rapidement les sources de ces valeurs ajoutées semble être l'impératif du moment et l'une des conditions urgentes à effets immédiats. Dépasser le "produit" de l'économie, tel qui s'opère actuellement, se veut de répondre à une attente diffuse pour atténuer les incidences imprévues socialement. Ainsi, le président Abdelaziz Bouteflika est en train de pousser ce processus jusqu'à son terme. Des efforts continus de promotion déployés à tous les niveaux dans un cadre réaliste et pragmatique éclairant une sphère économique de plus en plus maîtrisée et redéfinissant la logique macroéconomique et les finalités de la croissance. A cette vague de mesures spontanées, liguant ce désir de changement, le programme présidentiel y répond par des décisions précises, des signes convaincants, pour des perspectives de renouveau. Tel est l'enjeu.