Des organisations sahraouies et la Commission nationale sahraouie pour les droits de l'Homme, CONASADH, ont condamné les actes ignobles et lâches et la répression marocaine contre les Sahraouis dans les villes occupées, alors qu'ils célébraient pacifiquement la victoire de l'équipe de football algérienne en finale de la coupe d'Afrique des nations (CAN 2019). La Commission nationale sahraouie des droits de l'Homme, CONASADH, s'est déclarée samedi préoccupée par la grave détérioration des droits de l'Homme dans les zones occupées et a fermement condamné le crime terrible commis par les autorités d'occupation marocaines, qui s'ajoute à la série d'exécutions extrajudiciaires contre le peuple sahraoui. Une jeune sahraouie, Sabah Othman Omeida, a été tuée par les forces de répression marocaines dans la ville d'Al-Ayoun occupée et plusieurs d'autres ont été blessés, en marge de la célébration pacifique de la victoire vendredi de l'équipe algérienne de football. "Il est temps que le Conseil de sécurité des Nations unies mette fin à cette escalade de la répression et des crimes en appliquant les résolutions de la légitimité internationale", a souligné la CONASADH. L'organisation de jeunesse sahraouie, l'Union de la jeunesse de Saguia El Hamra et Rio de Oro (UJSARIO) a également condamné les violences et la détention forcée de nombreux jeunes Sahraouis à la suite de ces manifestations pacifiques, notamment l'utilisation de balles en caoutchouc, et a présenté ses condoléances à la famille la jeune Sabah et tout le peuple sahraoui. Après avoir condamné l'assassinat de la jeune Sahraoui, l'Union nationale des femmes sahraouies (UNMS) a exhorté les organisations de défense des droits de l'Homme d'envoyer une mission internationale indépendante chargée d'enquêter sur le décès de la défunte et a demandé à la communauté internationale de mettre fin au conflit opposant le Front Polisario et le Maroc. De son côté, le Collectif des défenseurs sahraouis des droits de l'Homme (CODESA) d'El-Ayoun occupée a également condamné les actes lâches de la police marocaine de ce vendredi. Dans un communiqué de presse, la CODESA a présenté ses condoléances à la famille de Sabah et a demandé qu'une enquête juste et impartiale soit diligentée sur le décès de la jeune femme. Tout a commencé quand, dans l'après-midi de vendredi, avant le début du match entre l'Algérie et le Sénégal, les forces répressives marocaines ont occupé la plupart des grandes routes d'El-Ayoun occupée avec des véhicules militaires. Parmi les véhicules se trouvaient des citernes pour le lancement d'eau sous pression, des voitures de police et des camions militaires placés Stratégiquement autour de la cafétéria où se concentraient la plupart des Sahraouis qui profitaient du grand festival de football africain. Après le match, des centaines de Sahraouis sont partis, simultanément et dans différents quartiers de la ville, ajoute-on, pour célébrer pacifiquement la victoire de l'Algérie. Mais les forces de répression de l'occupation marocaine bloquaient leur chemin en chargeant contre eux avec des canons à eau sous pression.
Le Front Polisario condamne énergiquement, appelle l'ONU à assumer ses responsabilités Le ministère de la diaspora et des zones occupées du Sahara occidental a condamné l'intervention brutale des forces marocaines contre la population civile sahraouie dans les territoires occupés, faisant un mort et plusieurs blessés. Le ministère a exprimé sa "plus forte condamnation" de la répression brutale perpétrée par les forces d'occupation marocaines contre des civils sahraouis dans les zones occupées du Sahara occidental, dans un communiqué repris par dimanche par SPS, rappelant qu'une jeune sahraouie, 23 ans qui célébrait pacifiquement la victoire de l'équipe de football de l'Algérie en finale de la coupe d'Afrique des nations (CAN 2019), a été tuée par les forces de répression marocaine et plusieurs d'autres ont été blessés. La répression violente menée par les forces marocaines, vendredi dernier, a fait un mort et près d'une centaine de blessés. Les Sahraouis ont protesté contre le pillage des ressources naturelles, pour l'emploi et pour la libération des prisonniers politiques de Gdeim Izik. Les manifestations ont lieu après la victoire de l'Algérie à la Coupe d'Afrique des Nations, CAN2019. Au cours de la manifestation de la population sahraouie, la police et les forces d'occupation auxiliaires marocaines sont intervenues brutalement contre la manifestation pacifique à El-Ayoun occupée et dans d'autres villes sahraouies. Le ministère sahraoui des Zones occupées et de la diaspora, a exhorté, dans le texte, l'ONU à assumer "sa responsabilité de protéger les civils sahraouis sans défense de la répression marocaine", appelant l'Organisation des Nations unies à intervenir de toute urgence pour la libération de tous les prisonniers politiques sahraouis incarcérés dans les prisons marocaines. La jeune sahraouie, Sabah Othman Omeida, a été tuée par les forces de répression marocaines dans la ville d'Al-Ayoun occupée et plusieurs d'autres ont été blessés, en marge de la célébration pacifique de la victoire vendredi de l'équipe algérienne de football en finale de la coupe d'Afrique des nations (CAN) face au Sénégal (1-0) qui s'est déroulée en Egypte. Le jeune fille, Sabah Othman, 23 ans, a subi un accident mortel intentionnel (volontaire) par la police marocaine qui a foncé sur la foule à pleine vitesse, selon des sources médiatiques sahraouies sur place, soulignant que la police marocaine a également blessé deux autres jeunes Sahraouis. Les sources d'Equipe Media présentes sur les lieux ont rapporté que les jeunes, Otman Cheikh Saffar et Ahmed al-Rugaibi, ont perdu connaissance à la suite d'une attaque brutale des forces auxiliaires et paramilitaires marocaines par des balles en caoutchouc et de canons à eau. Tout a commencé quand, dans l'après-midi de vendredi, avant le début du match entre l'Algérie et le Sénégal, les forces répressives marocaines ont occupé la plupart des grandes routes d'El-Ayoun occupée avec des véhicules militaires. Parmi les véhicules se trouvaient des citernes pour le lancement d'eau sous pression, des voitures de police et des camions militaires placés stratégiquement autour de la cafétéria où se concentraient la plupart des Sahraouis qui profitaient du grand festival de football africain. Après le match, des centaines de Sahraouis sont partis, simultanément et dans différents quartiers de la ville, ajoute-on, pour célébrer pacifiquement la victoire de l'Algérie. Mais les forces de répression de l'occupation marocaine bloquaient leur chemin en chargeant contre eux avec des canons à eau sous pression. Au cours des charges, des dizaines de Sahraouis ont été arrêtés arbitrairement et aucun détail sur leur état de santé ni sur le lieu où il se trouve n'a été connu à ce jour, détaille l'Equipe Media. La plupart des blessés, y compris plusieurs femmes blessées à la mâchoire et aux visages, ne pouvaient pas se faire soigner à l'hôpital car la police l'avait bouclé, empêchant l'accès au centre hospitalier, selon la même source. La jeune sahraouie, Sabah Othman Omeida, a été tuée par les forces de répression marocaines dans la ville d'Al-Ayoun occupée et plusieurs d'autres ont été blessés, en marge de la célébration pacifique de la victoire vendredi de l'équipe algérienne de football en finale de la coupe d'Afrique des nations (CAN) face au Sénégal qui s'est déroulée en Egypte. La jeune fille, Sabah Othman, 23 ans, a été victime d'un accident mortel intentionnel par la police marocaine qui a foncé sur la foule à pleine vitesse, selon des sources médiatiques sahraouies sur place, soulignant que la police marocaine a également blessé plusieurs autres jeunes Sahraouis. Les sources d'Equipe Media présentes sur les lieux ont rapporté que les jeunes, Otman Cheikh Saffar et Ahmed al-Rugaibi, ont perdu connaissance à la suite d'une attaque brutale des forces auxiliaires et paramilitaires marocaines par des balles en caoutchouc et de canons à eau. Tout a commencé quand, dans l'après-midi de vendredi, avant le début du match entre l'Algérie et le Sénégal, les forces répressives marocaines ont occupé la plupart des grandes routes d'El-Ayoun occupée avec des véhicules militaires. Parmi les véhicules se trouvaient des citernes pour le lancement d'eau sous pression, des voitures de police et des camions militaires placés stratégiquement autour de la cafétéria où se concentraient la plupart des Sahraouis qui profitaient du grand festival de football africain. Après le match, des centaines de Sahraouis sont partis, simultanément et dans différents quartiers de la ville, ajoute-on, pour célébrer pacifiquement la victoire de l'Algérie. Mais les forces de répression de l'occupation marocaine bloquaient leur chemin en chargeant contre eux avec des canons à eau sous pression. Au cours des charges, des dizaines de Sahraouis ont été arrêtés arbitrairement et aucun détail sur leur état de santé ni sur le lieu où il se trouve n'a été connu à ce jour, détaille l'Equipe Media. La plupart des blessés, y compris plusieurs femmes blessées à la mâchoire et aux visages, ne pouvaient pas se faire soigner à l'hôpital car la police l'avait bouclé, empêchant l'accès au centre hospitalier, selon la même source.