Le Premier ministre, M. Abdelaziz Djerad s'est engagé à conduire l'action du gouvernement en tenant compte de la nécessité urgente de dépasser les anciennes pratiques de gouvernance pour les inscrire dans la transparence afin de répondre et satisfaire aux besoins et aspirations de la société algérienne mais aussi afin que le Plan d'action du gouvernement gagne constamment en crédibilité, cohérence, à mobiliser désormais une gamme complète de moyens humains, financiers , techniques et organisationnels dont les résultats seront directement liés à l'amélioration sensible des niveaux de vie des citoyens à travers le programme d'urgence de développement décidé par le président de la République, Monsieur Abdelmadjid Tebboune au profit de chaque partie du pays et visant le désenclavement des régions qui n'ont pas bénéficié du droit à leur développement socio-économique. La mise en phase de ce programme d'urgence de développement constitue en elle-même des progrès par rapport au passé, et également les premiers signes d'une tendance générale au redressement, et par conséquent des manifestations de l'efficacité du Plan d'action du gouvernement dans une approche de développement de proximité devant aboutir à relancer le développement avec des chances sérieuses de succès, puisque désormais les citoyens se sentent concernés et sont de plus en plus partie prenante au débat et à l'action dans l'instauration de la nouvelle République, la construction d'un nouveau modèle économique basé sur la diversification de la croissance et de l'économie de la connaissance. L'édification d'une Algérie " décolonisée largement capable de surmonter le passif légué par le régime en place depuis avril 1999. Une Algérie réorientée et restructurée en fonction de la satisfaction des aspirations et besoins de la société. Une démarche de plus en plus intégrée sur laquelle s'appuie le gouvernement, notamment en ce qui concerne la sphère économique afin de mieux en mieux maîtriser sa croissance et son développement, grâce à une stratégie prioritaire qui entend relever les défis que traduit parfaitement la vision globale du président de la République, Monsieur Abdelmadjid Tebboune, vision nourrie des réalités politiques, économiques et sociales et inspirées des attentes exprimées, de manière claire et déterminée, par les citoyens. Dans cette optique, le gouvernement semble bien s'orienter vers une nouvelle politique économique, financière et sociale comme le fer de lance de son action. Le Premier ministre, M. Abdelaziz Djerad ambitionne à travers le Plan d'action du gouvernement pour la mise en œuvre du programme présidentiel, de créer les mécanismes et l'écosystème adéquats pour la relance du développement et l'émergence d'une économie diversifiée, pérenne, créatrice d'emplois et de richesses et libérée du carcan bureaucratique qui étouffe non seulement les entreprises mais qui bloque, également, la capacité de l'économie nationale à croître durablement. Selon M. Djerad, il s'agira d'une politique industrielle rénovée et une agriculture modernisée, une véritable économie de la connaissance qui constitueront les piliers pour amorcer la croissance en adéquation avec le grand potentiel que recèle le pays. " La création d'emplois et la lutte contre le chômage obéiront, désormais, à une approche strictement économique, à travers la stimulation des activités rentables et, plus particulièrement, dans le domaine de la micro-entreprise, des incubateurs, des start-up et du numérique ". La politique préconisée par le Plan d'action du gouvernement est d'une importance capitale pour l'émancipation économique et sociale car elle représente non seulement une masse de projets, mais surtout le choix d'une méthode globale dans le développement en vue d'objectifs précis et selon des voies nouvelles et moyens propres à les réaliser. En somme il s'agit d'un nouveau modèle de gouvernance d'un développement économique et social planifié qui suit progressivement au fur et à mesure que se concrétisent dans les faits les engagements du chef de l'Etat et que, de ce fait, se généralisait la prise de conscience que la croissance, la diversification de l'économie nationale, l'avènement de l'économie de la connaissance surviennent en même temps à travers une double démarche : la connaissance précise des tâches à accomplir, les projets, investissements à inscrire à moyen et long termes, en même temps que la discipline de tous dans l'organisation et la mise en œuvre du programme d'urgence de développement décidé par le chef de l'Etat. Pour être efficace, ce programme d'urgence de développement doit continuellement s'adapter, aussi bien par le choix de sa méthodologie comme par le choix de ses instruments d'intervention, bien évidemment aux conditions spécifiques de chaque région du pays, mais également aux différentes étapes de développement de l'économie nationale franchies et à la nature des problèmes à résoudre à chaque étape.