La wilaya d'Alger, lors de sa dernière session ordinaire, n'a pas manqué de soulever le problème de l'absence de respect des normes universelles régissant la réalisation de groupes scolaires. Des infrastructures qui connaisent des travaux baclés nécessitant des réfections au bout de quelques mois seulement, des classes trop exiguës... la liste des manques est très longues et la sonnette d'alarme est tirée. La wilaya d'Alger, lors de sa dernière session ordinaire, n'a pas manqué de soulever le problème de l'absence de respect des normes universelles régissant la réalisation de groupes scolaires. Des infrastructures qui connaisent des travaux baclés nécessitant des réfections au bout de quelques mois seulement, des classes trop exiguës... la liste des manques est très longues et la sonnette d'alarme est tirée. Il est incontestable, que les établissements scolaires anciens et surtout nouveaux souffrent d'un manque flagrant en matière de cantines. En dépit des instructions de la wilaya d'Alger les groupes scolaires algérois n'arrivent toujours pas à s'aligner aux normes universelles lesquels stipulent que tous les établissements scolaires, destinés au cycle primaire, doivent être dotés de cantines. Ces dernières années on retrouve régulièrement dans les pages de la presse nationale des avis d'appel d'offres pour la réhabilitation de tel ou tel groupe scolaire. Ces communiqués de l'Anep sont à la limite récurrents, et témoigent, si besoin est du peu de soin apporté à la réalisation de ces écoles. En effet dans certaines localités, des groupes scolaires font l'objet de réhabilitation après deux années, voire seulement une année après leur réalisation. Devant cet état de faits, on ne peut s'empêcher de s'interroger sur la qualité des travaux de ces infrastructures entrant dans le programme de développement local de chaque collectivité. La wilaya d'Alger n'a d'ailleurs pas manqué de soulever cette absence de qualité concernant la construction de ces infrastructures scolaires dans l'Algérois. La tutelle en question a même mis en garde les différentes APC de la capitale, les interpellant par le biais d'une nouvelle instruction (référence 9017 du 30 septembre 2009) sur la nécessité d'apporter un mûrissement et une modulation avant d'entreprendre toute construction de nouveaux groupes scolaires dans l'Algérois. Absence de cantines, la grande ploblématique Les établissements scolaires dans la capitale souffrent d'un manque flagrant en matière de restauration. Pourtant, selon les l'ensemble des groupes scolaires, destinés au cycle primaire, devraient être dotés de cantines. Cela évite aux élèves des va-et-vient fastidieux et souvent risqués quand il s'agit de traverser des routes à grande circulation. En plus de cela ces cantines permettent aux enfants de bénéficier de repas équilibrés, ce qu'ils n'ont pas tous au sein de leurs foyers. En dépit des différents rappels de la tutelle, les nouvelles écoles continuent à être livrées sans cantines. D'où la nouvelle instruction ferme émanant de la wilaya d'Alger dont on a cité plus haut la référence. Le nombre d'écoles dans la capitale qui restent privées, à ce jour, de ces commodités vitales pour les petits écoliers, est réellement. Signalons que les normes qui devraient être appliquées et réspectées pour toute réalisation de groupes scolaires du cycle primaire sont universelles. Or, les dépassements sont flagrants, et les petits écoliers continuent à souffrir de ces situations dues au laisser-aller des communes qui n'accordent pas l'intérêt voulu à ce secteur. Classes et cours de récreation exiguës Les nouvelles réalisations d'infrastructures scolaires dans l'Algérois, en plus de souffrir de plusieurs manques ne respectent pas non plus les espaces qui devraient être consacrés aux classes et autres cours de récreation. Pourtant, certaines de ces communes sont privilégiées en matière de terrains. Les élèves se bousculent dans des cours minuscules et sans aucun aménagement. Elles restent très loin des normes imposées. Cela est le constat indiscutable du secteur de l'éducation primaire dans la wilaya d'Alger. Une précarité dénoncée par les parents Les parents de leur coté ne cessent de dénoncer cette situation de précarité qui pénalisent le quotidien de leurs enfants. Ces établissements reçoivent parfois de jeunes enfants qui se déplacent sur plusieurs kilomètres. "Mon fils a, à peine, huit ans. L'école où il va est située à environ vingt minutes de marche de la maison. Vous pouvez donc imaginer le parcours qu'il est tenu d'effectuer quatre fois dans la journée particulièrement en période hivernale", déplore un parent d'élève dans la localité de Daboussi, abordé devant un établissement scolaire où il attendait la sortie des classes pour accompagner son fils à la maison. Ce père complètement désemparé ne manquera pas d'insister sur la nécessité de doter les écoles de cantines afin d'éviter ces déplacements pénalisants pour les bambins et bien souvent pour les parents qui travaillent et qui ne peuvent donc être à l'accueil de leurs enfants. Très souvent les écoliers restent sur place se contentant de prendre des sandwiches trop gras et sans aucune hygiène accompagnés de sodas trop sucrés. Y. B. Il est incontestable, que les établissements scolaires anciens et surtout nouveaux souffrent d'un manque flagrant en matière de cantines. En dépit des instructions de la wilaya d'Alger les groupes scolaires algérois n'arrivent toujours pas à s'aligner aux normes universelles lesquels stipulent que tous les établissements scolaires, destinés au cycle primaire, doivent être dotés de cantines. Ces dernières années on retrouve régulièrement dans les pages de la presse nationale des avis d'appel d'offres pour la réhabilitation de tel ou tel groupe scolaire. Ces communiqués de l'Anep sont à la limite récurrents, et témoigent, si besoin est du peu de soin apporté à la réalisation de ces écoles. En effet dans certaines localités, des groupes scolaires font l'objet de réhabilitation après deux années, voire seulement une année après leur réalisation. Devant cet état de faits, on ne peut s'empêcher de s'interroger sur la qualité des travaux de ces infrastructures entrant dans le programme de développement local de chaque collectivité. La wilaya d'Alger n'a d'ailleurs pas manqué de soulever cette absence de qualité concernant la construction de ces infrastructures scolaires dans l'Algérois. La tutelle en question a même mis en garde les différentes APC de la capitale, les interpellant par le biais d'une nouvelle instruction (référence 9017 du 30 septembre 2009) sur la nécessité d'apporter un mûrissement et une modulation avant d'entreprendre toute construction de nouveaux groupes scolaires dans l'Algérois. Absence de cantines, la grande ploblématique Les établissements scolaires dans la capitale souffrent d'un manque flagrant en matière de restauration. Pourtant, selon les l'ensemble des groupes scolaires, destinés au cycle primaire, devraient être dotés de cantines. Cela évite aux élèves des va-et-vient fastidieux et souvent risqués quand il s'agit de traverser des routes à grande circulation. En plus de cela ces cantines permettent aux enfants de bénéficier de repas équilibrés, ce qu'ils n'ont pas tous au sein de leurs foyers. En dépit des différents rappels de la tutelle, les nouvelles écoles continuent à être livrées sans cantines. D'où la nouvelle instruction ferme émanant de la wilaya d'Alger dont on a cité plus haut la référence. Le nombre d'écoles dans la capitale qui restent privées, à ce jour, de ces commodités vitales pour les petits écoliers, est réellement. Signalons que les normes qui devraient être appliquées et réspectées pour toute réalisation de groupes scolaires du cycle primaire sont universelles. Or, les dépassements sont flagrants, et les petits écoliers continuent à souffrir de ces situations dues au laisser-aller des communes qui n'accordent pas l'intérêt voulu à ce secteur. Classes et cours de récreation exiguës Les nouvelles réalisations d'infrastructures scolaires dans l'Algérois, en plus de souffrir de plusieurs manques ne respectent pas non plus les espaces qui devraient être consacrés aux classes et autres cours de récreation. Pourtant, certaines de ces communes sont privilégiées en matière de terrains. Les élèves se bousculent dans des cours minuscules et sans aucun aménagement. Elles restent très loin des normes imposées. Cela est le constat indiscutable du secteur de l'éducation primaire dans la wilaya d'Alger. Une précarité dénoncée par les parents Les parents de leur coté ne cessent de dénoncer cette situation de précarité qui pénalisent le quotidien de leurs enfants. Ces établissements reçoivent parfois de jeunes enfants qui se déplacent sur plusieurs kilomètres. "Mon fils a, à peine, huit ans. L'école où il va est située à environ vingt minutes de marche de la maison. Vous pouvez donc imaginer le parcours qu'il est tenu d'effectuer quatre fois dans la journée particulièrement en période hivernale", déplore un parent d'élève dans la localité de Daboussi, abordé devant un établissement scolaire où il attendait la sortie des classes pour accompagner son fils à la maison. Ce père complètement désemparé ne manquera pas d'insister sur la nécessité de doter les écoles de cantines afin d'éviter ces déplacements pénalisants pour les bambins et bien souvent pour les parents qui travaillent et qui ne peuvent donc être à l'accueil de leurs enfants. Très souvent les écoliers restent sur place se contentant de prendre des sandwiches trop gras et sans aucune hygiène accompagnés de sodas trop sucrés. Y. B.