La Fondation algéro-américaine pour la culture, l'éducation, la science et la technologie (Aafest) a officiellement vu le jour, hier à Washington. Regroupant des personnalités de renommée international dans le domaine scientifique notamment, la Fondation se veut surtout un trait d'union entre les deux pays afin d'intensifier la coopération. Le président de la Fondation, qui n'est autre que le célèbre docteur Elias Zerhouni, en sa qualité également d'envoyé spécial des Etats-Unis pour la science et la technologie, a estimé qu'«il s'agit de l'un des rassemblements les plus importants de médecins algériens, algéro-américains et américains, d'universitaires, de cadres, de scientifiques, de diplomates, et en général, de personnes qui souhaitent promouvoir la science et renforcer les relations entre l'Algérie et les Etats-Unis ». De son côté, le professeur Amirouche, président exécutif de la fondation, qui a qualifié son lancement d'«historique», a quant à lui, précisé que c'est là «une occasion unique pour cette structure de jouer un rôle actif dans de raffermissement des liens entre les deux pays dans le domaine de la science et de la technologie». Présent à la cérémonie du lancement officiel de l'Aafest, l'ambassadeur d'Algérie à Washington aux côtés du docteur Nina V. Fedoroff, conseillère spéciale de la secrétaire d'Etat américaine pour la Science et la Technologie, Abdallah Baâli, a souligné «la solidarité et la profondeur» des liens entre les deux pays, insistant sur la nécessité de «renforcer» les échanges algéro-américains dans les domaines de la culture, de l'éducation, de la science et de la technologie. Il a ajouté que «Cela vaut d'autant plus pour nos deux pays qu'il existe aux Etats-Unis une communauté scientifique nombreuse originaire d'Algérie, constituée de femmes et d'hommes qui ont été formés dans notre pays et qui apportent tous les jours et dans des domaines les plus pointus, une précieuse contribution à la prospérité et au développement des Etats-Unis». Pour le diplomate algérien «certes, on peut y voir une perte pour l'Algérie, mais je préfère croire que cette communauté peut et doit constituer un véritable trait d'union entre les deux nations», a-t-il indiqué. L. B. La Fondation algéro-américaine pour la culture, l'éducation, la science et la technologie (Aafest) a officiellement vu le jour, hier à Washington. Regroupant des personnalités de renommée international dans le domaine scientifique notamment, la Fondation se veut surtout un trait d'union entre les deux pays afin d'intensifier la coopération. Le président de la Fondation, qui n'est autre que le célèbre docteur Elias Zerhouni, en sa qualité également d'envoyé spécial des Etats-Unis pour la science et la technologie, a estimé qu'«il s'agit de l'un des rassemblements les plus importants de médecins algériens, algéro-américains et américains, d'universitaires, de cadres, de scientifiques, de diplomates, et en général, de personnes qui souhaitent promouvoir la science et renforcer les relations entre l'Algérie et les Etats-Unis ». De son côté, le professeur Amirouche, président exécutif de la fondation, qui a qualifié son lancement d'«historique», a quant à lui, précisé que c'est là «une occasion unique pour cette structure de jouer un rôle actif dans de raffermissement des liens entre les deux pays dans le domaine de la science et de la technologie». Présent à la cérémonie du lancement officiel de l'Aafest, l'ambassadeur d'Algérie à Washington aux côtés du docteur Nina V. Fedoroff, conseillère spéciale de la secrétaire d'Etat américaine pour la Science et la Technologie, Abdallah Baâli, a souligné «la solidarité et la profondeur» des liens entre les deux pays, insistant sur la nécessité de «renforcer» les échanges algéro-américains dans les domaines de la culture, de l'éducation, de la science et de la technologie. Il a ajouté que «Cela vaut d'autant plus pour nos deux pays qu'il existe aux Etats-Unis une communauté scientifique nombreuse originaire d'Algérie, constituée de femmes et d'hommes qui ont été formés dans notre pays et qui apportent tous les jours et dans des domaines les plus pointus, une précieuse contribution à la prospérité et au développement des Etats-Unis». Pour le diplomate algérien «certes, on peut y voir une perte pour l'Algérie, mais je préfère croire que cette communauté peut et doit constituer un véritable trait d'union entre les deux nations», a-t-il indiqué. L. B.